Mokonuts
Restaurant — Sainte-Marguerite (Paris)



À propos
Mokonuts est un micro-restaurant parisien intimiste de 20 couverts, fondé en 2015 par le couple Omar Koreitem et Moko Hirayama. Situé dans le 11e arrondissement, ce lieu propose une cuisine fusion innovante mélangeant influences libanaises, japonaises et françaises. Ouvert uniquement le midi, le restaurant est réputé pour ses plats de saison changeants, son labné maison, et surtout ses cookies légendaires. Chaque jour, Omar cuisine des plats créatifs utilisant des produits locaux et de saison, tandis que Moko confectionne des desserts uniques comme ses cookies aux saveurs surprenantes. Leur approche artisanale, leur passion et leur convivialité ont fait de Mokonuts l'une des adresses les plus prisées de Paris, récompensée par un Fooding d'honneur en 2025.
Mentions
Mokonuts - Restaurant - Paris
75011 PARIS 7 PHOTOS Chef Omar Koreitem Cuisine Fusion | Moderne | Tapas Truc en + À emporter 12/20 Table Gourmande Un bistrot de poche dans une petite rue adjacente à la rue du Faubourg Saint-Antoine, où règne une atmosphère chaleureuse et familiale. On joue des coudes pour profiter d'une petite assiette de saison à l'ardoise, bien faite et pleine de fraîcheur. Uniquement au déjeuner, l'entrée d'œuf, girolles et haricots verts, le thon blanc aux tomates anciennes et aubergine fumée, une volaille, haricots borlotti, courgette et citron confit, ou encore une tarte à la fraise et basilic. LIRE LA SUITE... LIRE MOINS... © OpenMapTiles © OpenStreetMap Adresse 5 Rue Saint-Bernard 75011 Paris JE M'Y RENDS Ouvert aujourd'hui Lundi Midi Soir Mardi Midi Soir Mercredi Midi Soir Jeudi Midi Soir Vendredi Midi Soir Samedi Midi Soir Dimanche Midi Soir Omar Koreitem Chef Omar Koreitem Chef Omar Koreitem Propriétaire Omar Koreitem Propriétaire Moko Hirayama Chef Moko Hirayama Chef Moko Hirayama Chef Pâtissier Moko Hirayama Chef Pâtissier Moko Hirayama Propriétaire Moko Hirayama Propriétaire Entrez dans le monde de la gastronomie RESTAURANTS À PROXIMITÉ Ouvert 12 / 20 Table Gourmande Osteria Ferrara Lieu 75011 PARIS Chef Fabrizio Ferrara Cuisine Italien Budget 20 € à 55 € Ouvert 12.5 / 20 Table Gourmande TOWA Lieu 75012 PARIS Cuisine Français | Traditionnel Budget 38 € à 95 € Ouvert 11.5 / 20 Table Gourmande Chefs à Table Lieu 75011 PARIS Chef Thomas Colin Cuisine Français Budget 30 € à 65 € Ouvert 13 / 20 Table de Chef Pianovins Lieu 75011 PARIS Cuisine Français | Moderne Budget 35 € à 95 € Ouvert 12 / 20 Table Gourmande Le 6 Paul Bert Lieu 75011 PARIS Cuisine Français | Traditionnel Budget 26 € Ouvert 11 / 20 Table Gourmande East Mamma Lieu 75011 PARIS Cuisine Italien | Méditerranéen HÔTELS À PROXIMITÉ Ouvert Hôtel d'Exception Hôtel Paris Bastille Boutet - MGallery Lieu 75011 PARIS Truc en + Accès handicapés, Animaux acceptés, Minibar, Parking privé, Piscine, Restauration sur place Budget 310 € Ouvert Hôtel de Prestige Hôtel Parisianer Lieu 75012 PARIS Truc en + Accès handicapés, Parking privé, Salle de fitness Budget 259 € Ouvert Hôtel de Prestige MK2 Hôtel Paradiso Lieu 75012 PARIS Truc en + Accès handicapés, Parking privé, Restauration sur place Budget 230 € Ouvert Hôtel d'Exception Hôtel Maison Bréguet Lieu 75011 PARIS Truc en + Accès handicapés, Animaux acceptés, Minibar, Restaurant sélectionné par G&M, Restauration sur place, Room service Budget 363 € Ouvert Hôtel Remarquable Moxy Paris Bastille Lieu 75011 PARIS Truc en + Accès handicapés, Animaux acceptés, Piscine Budget 160 € Ouvert Hôtel d'Exception Le Pavillon de la Reine Lieu 75003 PARIS Truc en + Accès handicapés, Charme, Minibar, Parking privé, Restaurant sélectionné par G&M, Restauration sur place Budget 550 € Restaurant Partenaires Retrouvez la liste complète des partenaires qui font confiance à Gault & Millau Tous nos partenaires Partenaires Retrouvez la liste complète des partenaires qui font confiance à Gault & Millau Tous nos partenaires Devenez Partenaires
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Mokonuts — Restaurant Review | Condé Nast Traveler
Tell us about your first impressions when you arrived. There’s a very casual feel to this otherwise upscale cafe in the 11th arrondissement. With only about 12 tables lining both walls and an open kitchen in the back, it’s almost like walking into the private home of Moko Hirayama and Omar Koreitem, the Japanese-Lebanese couple who run the place. The place, only open during the day and with two big windows looking out onto the street, is always flooded with natural light. There’s little in the way of decor for decor’s sake. Instead, preserved fruits, pickled veggies, and bottles of wine bring color to shelves hung on the white brick walls; simple wooden stools and tables lit with single Edison bulbs. What was the crowd like? From neighborhood proprietors and chefs on their day off to out-of-towners from near and far, the clientele generally consists of foodies who appreciate seasonal dishes prepared with precision. There’s some necessary scooching to get in and out of the tightly-packed tables—especially because they’re almost always all full for lunch—so it’s not unusual to leave with a new friend (or occasionally overhear other peoples’ conversations). What should we be drinking? They offer an impressive natural wine selection to pair with the savory dishes, but for those returning to the office there are non-alcoholic beverages such as specialty coffee drinks from artisanal roaster L’Arbre à Café, hibiscus iced tea, and a honey, lemon, and thyme infusion. While they’re busy for lunch (and reservations are highly recommended) you could do worse than coming in before or after prime-time solely for a cuppa something warm parked with one of Moko’s magnificent cookies (try the tahini!) or halvah cake. Main event: the food. Give us the lowdown—especially what not to miss. Omar, who’s responsible for the savory dishes, got his start at Daniel in New York City, while Moko, a one-time lawyer, dreamt of making macrons at Ladurée. Together, they’ve created something wholly their own. Despite only serving lunch, they actually don’t do a prix fixe option. But shortly after you take your first bite—of their famous zaatar-spiced labne; of Moko’s oddball flavored cookies; of Omar’s daily dish—you still feel as if you’re getting a deal. While the lunch menu changes daily, the Middle Eastern-skewed dishes plated on raw ceramics may include fish topped with artichokes and crushed potatoes or moist chicken served with fresh greens. There are generally only three starters and two mains to choose from, and little options for vegetarians aside from the labne served with Moko’s mini whole wheat pita that comes to the table warm. And how did the front-of-house folks treat you? It could be, quite possibly, the most neighborly restaurant in Paris—even if you don’t live nearby. When you walk in, whether or not she knows your name, Moko will greet you with a bonjour and a big smile as she buzzes around serving dishes, taking cookies out of the oven or steaming up milk for a cappuccino. Because there are generally three of them running the place—Omar cooks while Moko and another staffer help prep and serve—it can take quite a long time to place your order and be served (and, sometimes, even get a refill on their free filtered water) so this is definitely a leisurely lunch spot. But, in return, you get exquisitely executed, made-to-order dishes that feel like a steal for the price and the passion that goes into making them. What’s the real-real on why we’re coming here? Since it’s solely a daytime spot, it’s a great place for impressing out-of-town guests, a co-worker/boss, or picky parents. Because they don’t have that many tables, coming with more than four people may prove difficult. It’s a small space and, while it’s convivial and friendly, groups over six people may (inadvertently) overtake the dining room.
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Et les meilleures tables de l'année sont...
La crème de la crème D’UN VÉNÉRABLE RESTAURANT D’ALTITUDE À UN BANKABLE CAFÉ DE QUARTIER, EN PASSANT PAR L’ADORABLE MEILLEUR POTAGER ET L’INESTIMABLE MEILLEURE TABLE, LE FOODING A AJOUTÉ À 25 ANNÉES DE COUDES SUR LA TABLE QUELQUE 18 ADRESSES FLAMBANT NEUVES ET PAS TOC, SOUS LES ORS DE L’HÔTEL DE VILLE DE PARIS. * Date de publication 19 nov. 2025 * partager * 3,2,1… joyeux anniversaire, le Fooding ! Histoire de fêter comme il se doit son premier quart de siècle, le guide préféré de votre chef·fe préféré·e a sorti l’argenterie, et pris ses quartiers dans l’Hôtel de Ville de Paris… pour tout déménager ! De quoi célébrer en grande pompe une meilleure taulière à l’accent scottish, une meilleure dînette à baguetter dans 12 m2, un meilleur esprit d’équipe qui vous met dans de beaux draps, ou encore un meilleur caviste qui n’est jamais à court de mots ni de goulots. Bref, force est de constater que le eat-parade 2026 en a sous la serviette. Meilleure table : La Maison de la Pia, Tende Le genre d’adresse qui se mérite ! Perdue au creux de la vallée de la Roya, dans une ancienne ferme en pierre retapée à la dure et avec amour par un duo déterminé. Eux ? Camille Burle (ex-sommelière de Lai’Tcha à Paris et du Canon à Nice) et Thomas Guernion (ex-Arpège et digne héritier du fabricant de pâtes Barale), qui ont transformé ce bout du monde en havre gastro-bucolique, où l’on vient autant pour la vue renversante que pour les assiettes. Fooding d’honneur : Moko Hirayama et Omar Koreitem – Mokonuts, Mokoloco, Mokochaya, Paris Jamais deux sans joie, la famille Moko s’est agrandie ! Cajolant déjà Mokunuts et Mokoloco, les heureux parents Moko Hirayama et Omar Koreitem vous présentent leur petit dernier : Mokochaya, un amour de coffee shop au bon goût de l’époque, mi-cantine mi-salon de thé. Sur la grande table d’hôte, entre les vases fleuris et suspensions organiques, défilent à midi des bento plus que réglos, servis comme il sied. Fooding d’amour : Testa Dura, Bordeaux La tête dure mais la pâte souple, les anciens ferrandiens Carolina Paradiso, Hugo Lipsky et Maxime Gourgues ont d’abord mis les mains dans la farine auprès de Bartolo Calderone avant d’ouvrir leur pizzeria-gelateria sur le cours d’Albret, face à la galerie des Beaux-Arts. La scéno parle d’elle-même : long comptoir en bois et granit, sac de farine de blé ancien Rouge de Bordeaux encadré au mur, quilles de vin nat’ ici et là, et gros four à bois. Fooding d’amour : Fargeot, Saint-Jean-de-Luz À qui pense que Saint-Jean-de-Luz a déjà fait carton plein d’adresses, voilà peut-être sa (secrète) carte maîtresse : Fargeot, un mini-resto à l’abri du vacarme des vagues, sans chichis avec sa devanture framboise écrasée, son comptoir en bois et son étroite banquette matelassée. Aux commandes ? Elsa Marie (ex-La Vierge à Paris et Providence à Guéthary) et son alter ego Julian May (passé par La Vierge lui aussi, et Le Saint Eutrope à Clermont-Ferrand). Meilleur bistrot : La Virée, Lyon Dans un Lyon un poêle ronflant depuis quelque temps, la paire d’enfer Mathias Beguin (ex-Aux Deux Amis à Paris et Substrat à la Croix-Rousse) et Matthias Lallemant (ex-Robert, à Paname aussi, et Bel Ami au pied des Pentes) a repris les fourneaux d’un ancien bouchon de 1952, muté pour l’occas’ en néobistrot vraiment jojo – sol en terrazzo, tables orange seventies, bar d’époque. Une virée qui risque bien de devenir QG ! Meilleur antidépresseur : Suffren, Marseille Non contents d’avoir fait tourner serviettes et fourchettes à la Citadelle de Marseille, les deux derviches cuiseurs Paul Vincent et Adrien Tran (Chaleur Tournante) virevoltent désormais dans l’ancien local des Trois Coups. Lifté comme jamais, le lieu s’est paré d’assises rouge brique, d’un long néon courant le long du plafond et d’une terrasse XXL dégoulinant sur la place Edmond-Rostand, parfaite pour accrocher leur cuisine bistrotière ficelée comme un rôti de mamie. Meilleur café de quartier : À La Renaissance, Paris La Renaissance est morte, vive la Renaissance ! Un royal renouveau pour ce bistrot voltairien centenaire, ranimé avec brio par Carina Soto Velásquez et Joshua Fontaine (Candelaria, Le Mary Celeste). Qui ont gardé la couronne de néon rouge et les miroirs infinis, mais l’ont gratifié d’une nouvelle fresque grattée au mur, d’un classieux bar en marbre, et pour emballer tout ça, d’assiettes parfaitement d’époque ficelées par le chef Min Wou Choi (ex-Saturne et Le Dauphin). Meilleur café de village : Le Vieux Four, Chas Affûté dans les cuisines du Saint Eutrope à Clermont puis du Pré du Puy à Cébazat, le chef Maxime Bichon rallume sa flamme au cœur de la Toscane auvergnate avec Louise Sheeran, sa moitié à la déco. À Chas, sur cette route des gamays qui sinue entre les volcans, leur bistrot occupe désormais la place centrale du village, face aux bassins de l’ancien lavoir où nagent de petits poissons-chats. Et ça envoie du bel ordinaire ! Meilleur comptoir : Comptoir Central des Bazars, Clermont-Ferrand Son mythique Saint Eutrope a été élu Meilleur bistrot du guide Fooding 2015… Dix ans plus tard, Harry Lester remet l’Auvergne sur la carte des plaisirs de (fine) bouche ! Son bazar ? C’est l’Europe, justement : comptoir ouvert à l’espagnole, simplicité à l’italienne, chaleur de pub british et cave à manger cocorico. Mais sur la carte comme dans l’assiette, rien que du lisible avec un croque-monsieur le matin, un plat unique pour le déj’, des assiettes partageuses pour l’apéro, et des glaces en journée ! Meilleur retour de pêche : Tetro, Marseille Dans un port où les restos de poiscaille font office d’éternels attrape-touristes, la cambuse de Raphaël François (formé aux Eaux de Mars) brille comme une pièce d’or au milieu des récifs. Après avoir traîné ses écailles de pop-up en dîners, le chef a jeté l’ancre dans cette ancienne cantine arménienne à un jet de filet de la criée, pour nous régaler de sa cuisine iodélicieuse. Meilleure taulière : Megan Moore – Bonnies, Marseille Pressé entre un sex shop, un tacos et deux mécanos, la miraculeuse troquettiste Megan Moore vient ressusciter une artère gueularde sur laquelle il faut bien reconnaître qu’on ne croisait jusqu’ici dégun pour s’en jeter un. Au four et au moulin, l’Écossaise, dont on avait déjà aperçu la chevelure rouquine à Livingston, règne sur un bistrot d’époque inaltéré et son petit monde d’habitué·es. Meilleur restaurant d’altitude : Le Café de la Poste, Nâves-Parmelan Dans le village haut-savoyard de Nâves-Parmelan, l’antique Relais de la Poste a repris du service sous la houlette de Maxime Chevardé. L’ancien sous-chef de L’Auberge sur les Bois a gagné les hauteurs d’Annecy pour tamponner sa propre cuisine, limpide et réjouissante, tout en jouant de la machine à timbrer. Voilà qui vaut bien un recommandé ! Meilleur potager : Les Filles en Bottes, Saint-Georges-de-Reintembault Ces filles-là vont vous terroiriser en botté ! Bien ancrées dans leur terre, Lénaïck Geffroy (passée par Bierbuik et Le Nessay) et Louise Lefèbvre (ex-Les Jardins de la Matz) savent y faire entre leur rustique table d’hôte, leur gîte bucolique, leur verger, leur potager et leur rustique table d’hôte, la première manœuvrant les fourneaux, la seconde assurant le service et le maraîchage. Meilleure dînette : Pochana, Paris Pochana ? En argot thaïlandais, c’est grosso modo tout ce qui nourrit. Et c’est aussi, dans cette confidentielle ruelle pavée à deux plats de Répu’, l’échoppe de poche de May Matawee Li et Remi Jominet, où l’une mitonne les petits secrets de sa cuisine familiale thaïe aux influences chinoises, tandis que l’autre se charge de les arroser de vins très fins. Meilleur esprit d’équipe : Auberge de Bellevie, Grozon Plus belle l’auberge ! Tel est le flamboyant programme de Zoé Boinet, qui a longtemps arrosé l’Auberge de Chassignolles avant de poser ses santiags en terre jurassienne, guidée par son Étoile du Berger – du nom de l’ancienne maison d’hôte aux vieilles pierres qu’elle a rhabillée de touches qui font mouche. Et où, d’une éner
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