Le Chat Bossu

Bistro — Quinze-Vingts (Paris)

4.3 (1693)
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6 mentions
Ouvre demain07:00
€€
Le Chat Bossu
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À propos

Le Chat Bossu est un bistrot traditionnel parisien situé au cœur du 12ème arrondissement, à l'angle du Faubourg Saint-Antoine. Établissement chaleureux et populaire, il incarne l'esprit authentique des bistrots parisiens avec une clientèle diversifiée allant des habitants du quartier aux travailleurs locaux. Sa terrasse en forme de proue de navire et son ambiance conviviale en font un lieu de rencontre prisé. Le propriétaire, Hugues Barelle, propose des prix abordables avec un café à 1€ et un plat du jour à 10,90€. L'établissement se distingue par son atmosphère familiale où tous sont les bienvenus, des enfants aux professionnels de santé, créant un véritable lieu de brassage social.

Mentions

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Chefs solidaires 2018 : les chefs font des dons à Sidaction

Par Caroline de Sortiraparis · Mis à jour le 22 novembre 2018 à 8h57 · Publié le 5 juillet 2012 à 15h28 Les chefs se mobilisent à nouveau pour le Sidaction, du 24 novembre au 1er décembre 2018. Ainsi, dans plus de 50 adresses d'île de France, vos achats finiront en dons pour la recherche et la lutte contre le sida. Chaque année, de plus en plus de restaurants, boulangeries, fromageries, charcuteries parisiens participent, on vous dit tout ! Les chefs se mobilisent une nouvelle fois ! L’opération Chefs Solidaires fait en effet son grand retour pour une 10e édition à découvrir du 24 novembre au 1er décembre 2018, journée mondiale de la lutte contre le sida. Comme les années précédentes, les restaurateurs ont bel et bien l’intention de s’impliquer du mieux que possible en offrant une part de leurs bénéfices à Sidaction. L’année passée, près de 150 restaurateurs avaient répondu présent sur toute la France, et s’étaient ainsi mobilisés, permettant de collecter environ 40 000 euros. Le concept ? Chaque participant peut mettre en place l’action de son choix pendant un ou plusieurs jours : la vente d’un produit spécial, la conception d’un menu spécifique, le partage d’une partie des recettes… Cette action, qui aboutit à un don permet de financer les actions de Sidaction en France et à l’international. * À lire aussi * Les bons plans de cette semaine à Paris et en Ile-de-France, du 24 au 30 novembre 2025 En île de France, plus de 50 tables participent à Chefs Solidaires 2018: * AU VIEUX COMPTOIR, 17 rue des Lavandères Saint-Opportune 75001 Paris * RESTAURANT LUMEN, 15 rue des Pyramides 75001 Paris * L’OSEILLE, 3 rue Saint-Augustin 75002 Paris * RESTAURANT CLEMENTINE, 5 rue Saint-Marc 75002 Paris * L'AMBASSADE D'AUVERGNE, 22 rue du Grenier Saint-Lazare 75003 Paris * MAX Y JEREMY, 6 rue Charles-François Dupuis 75003 Paris * L'OURS BLANC, 6 rue Geoffroy l'Angevin 75004 Paris * LE SULLY, 6 boulevard Henri IV 75004 Paris * IL POMOD’ORO, 340 rue Saint Jacques 75005 Paris * HEBE, 15 rue Frédéric Sauton 75005 Paris * OYAMA, 10 rue Broca 75005 Paris * CHEZ FERNAND, 13 rue Guisarde 75006 Paris * CEZEMBRE, 17 rue Grégoire de Tours 75006 Paris * TRUFFES FOLIES, 37 rue Malar 75007 Paris * CINQ MARS, 51 rue de Verneuil 75007 Paris * RICHARD CHIRON (consultant restauration), 12 rue Godot de Mauroy 75009 Paris * LES BACCHANTES, 21 rue Caumartin 75009 Paris * LE NON COUPABLE, 21 rue des Mathurins 75009 Paris * BOURGOGNE SUD, 14 rue de Clichy 75009 Paris * MERIGGIO, 3 rue Rougemont 75009 Paris * LE CHANSONNIER, 14 rue Eugène Varlin 75010 Paris * ATELIER DES SENS, 40 rue Sedaine 75011 Paris * LE BAZAR EGYPTIEN, 29 rue de Lappe 75011 Paris * LA CAVE DE DAUMESNIL, 251 avenue Daumesnil 75012 Paris * LE CHAT BOSSU, 126 rue du Faubourg Saint-Antoine 75012 Paris * ROSE LES VILAINES, 10 avenue René Coty 75014 Paris * LES PETITES SORCIERES, 12 rue Liancourt 75014 Paris * LA VIE D’ANGE, 41 boulevard Saint-Jacques 75014 Paris * LE TOURBILLON, 116 rue des Dames 75017 Paris * L'ASSIETTE, 78 rue Labat 75018 Paris * LE PARLEMENT, 117 rue Championnet 75018 Paris * LES CHOUPETTES DE CHOUCHOU, 27 rue Durantin 75018 Paris * ZOE BOUILLON, 66 rue Rebeval 75019 Paris * TOPKNOT, 6 rue Melingue 75019 Paris * LE KASKAD CAFE, 2 place Armand Carrel 75019 Paris * TROUBADOURS, 70 boulevard de Ménilmontant 75020 Paris * LE VIEUX CRAPAUD, 16 rue Lauriston 75116 Paris * L’EQUATEUR, 151 rue Saint-Maur 75525 Paris cedex 11 * THAI FINE, 61 rue de Pouilly 77240 Vert-Saint-Denis * LE FOURNIL DE CONGIS, 8 place du Perchet 77440 Congis-sur-Therouanne * LE BEL AMI, 77 boulevard Carnot 78110 Le Vésinet * L’AUBERGADE, 12 route du Pontel 78760 Jouars-Pontchartrain * AU RYTHME DU TEMPS, 41 rue Gambetta 78800 Houilles * PATISSERIE GROUSSET DAMIEN, 31 rue Charles de Gaulle 91330 Yerres * AU PATIO, 36 bis boulevard Aristide Briand 91600 Savigny-sur-Orge * LA GIRAFE, 6 rue de la République 92170 Vanves * AMORE E FANTASIA, 134 rue louis Rouquier 92300 Levallois-Perret * LE 9, 9 rue Marcel Cerdan 92300 Levallois-Perret * BISTRO LE CINQ, 5 place Henri Barbusse 92300 Levallois-Perret * DELICES MEXICAINS IMELDA, 12 rue Barreau 92600 Asnieres * Le KB, 114 avenue de Fontainebleau 94270 Le Kremlin-Bicêtre * JARDIN FONDA, 26 rue Lemercier 95300 Pontoise * DON PEPPONE, 14 rue de la République 95330 Domont * JE SUIS CUISINIER CHEZ VOUS, 4 allée Claude Debussy 95390 Saint-Prix * LE CLOS DU PETILLON, 2 rue du moulin 95450 Théméricourt * KIFSA ENTREPRISE, 1 square des Lierres 95470 Survilliers * L’OLIVIER CAFE, 1 route Nationale 95570 Moisselles * COMME A LA MAISON, 27 rue de la République 95650 Boissy-L’Aillerie * L’AVANT PREMIERE, 20 rue de l’Espérance 95800 Cergy

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L'âme des bistrots parisiens racontée par leurs patrons

Publié le 8 juin 2018 à 18h45. Lecture : 2 min ---------------------------------------- Un bistrot, c'est "un endroit où on n'a pas peur d'entrer" et où l'on "croise beaucoup de gens" accoudés au zinc dès l'aube. Paroles de bistrotiers parisiens, qui espèrent voir leurs établissements inscrits au patrimoine mondial de l'humanité. En 2020, les bistrots et terrasses de Paris pourraient entrer dans la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité dressée par l'Unesco, si leur candidature est retenue. Dans l'est de la capitale, le haut du faubourg Saint-Antoine cultive ses racines populaires grâce à des établissements de caractère, où le brassage social n'est pas un mythe. "Familial et chaleureux", avec sa clientèle composée "à 80% d'habitués", "Mon café offre des journaux, du wifi, mais aussi un coin paisible, garni de livres pour enfants qui "accueille tout le monde". "Si un enfant gueule, il gueule...c'est la vie", dit à l'AFP le gérant, Ilan Burday, 35 ans. Proche de l'hôpital Saint-Antoine, l'établissement reçoit aussi bien les habitants du quartier que des aides-soignants, des urgentistes au bout d'une nuitde travail, ou encore des patients qui viennent "parfois tous les jours, pendant un ou deux mois de traitement" et leurs proches. Dans un secteur dont les employés tournent beaucoup, l'équipe, souriante, est ancienne. "Ils sont contents de venir travailler, reviennent boire des coups sur leur temps de pause... certains partent en vacances avec des clients", relate M. Burday. "D'ailleurs je me suis marié avec une cliente: la libraire d'en face", rigole le jeune bistrotier, que l'on vient, à intervalles réguliers, féliciter: depuis 15 jours, il est papa d'un petit Nino. Derrière le comptoir trônent des cartes postales: "Salut les gars. Merci pour les séances de psy-bar au désespoir de ma banquière" dit celle de Méli. "Fallait quand même qu'on envoie une carte aux plus beaux barmen de Paris", clament Michelle et Flo. A quelques encablures se trouve la terrasse en forme de proue de navire du Chat bossu: "Un vieux bistrot, c'est un endroit où on n'a pas peur d'entrer. Chez moi, on sait qu'on n'en aura pas pour plus de 15 balles", dit le propriétaire, Hugues Barelle, 45 ans. - Les gros "mangent le business" - "Ici le café au bar est à 1 euro, le plat du jour à 10,90 euros", égrène-t-il. Sa clientèle ? "Un clodo, un flic, un marchand de vin, un avocat et le mec des poubelles", dit-il, désignant du menton ses voisins de comptoir. Plus tendance, La Parisienne du Faubourg vise "une clientèle girly" pour se distinguer de la concurrence et "parce que les femmes attirent les hommes et qu'elles consomment plus qualitatif, bio" affirme son gérant Benjamin Bourdin, 38 ans. Derrière le comptoir, il y est depuis 20 ans, "par accident" au début, aujourd'hui par amour d'un métier où "l'on rencontre beaucoup de gens et qui peut être assez sympa au niveau de la rémunération". "Mais c'est dur, très dur", dit-il après avoir avalé son déjeuner, debout devant son évier. Deux mois après avoir ouvert, il veille au grain 12 heures par jour parce que "recruter c'est une tannée, et ça coûte une fortune". M. Barelle, qui jongle entre trois établissements, a ramené ses journées à "sept ou huit heures" pour voir ses deux enfants. "Je n'ai presque pas élevé mon fils, à cause de ce métier. Il m'a vu dormir, c'est tout". Fatigué au bout de 29 ans, il "en a marre" et mettra ses affaires en gérance dans un ou deux ans, pour vivre en Grèce et "ne plus rien faire". Outre la dureté du métier, les difficultés s'accumulent, avouent les trois cafetiers, blâmant pêle-mêle une baisse de fréquentation, un pouvoir d'achat en berne, le succès des machines Nespresso et surtout la concurrence des Burger King, Indiana Café, Starbucks et autres chaînes qui "mangent le business". "Les prix ont explosé" dit M. Burday. Un fonds de commerce "qui se vendait 100 à 120% du chiffre d'affaires se vend 200%: les propriétaires savent que les gros vont acheter".

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L'âme des bistrots parisiens racontée par leurs patrons

* Société * Justice * Religion et laïcité * Education * Régions PARIS. PARIS - UN BISTROT, C'EST "UN ENDROIT OÙ ON N'A PAS PEUR D'ENTRER" ET OÙ L'ON "CROISE BEAUCOUP DE GENS" ACCOUDÉS AU ZINC DÈS L'AUBE. PAROLES DE BISTROTIERS PARISIENS, QUI ESPÈRENT VOIR LEURS ÉTABLISSEMENTS INSCRITS AU PATRIMOINE MONDIAL DE L'HUMANITÉ. Par AFP Publié le 08/06/2018 à 18:32, mis à jour à 18:34 En 2020, les bistrots et terrasses de Paris pourraient entrer dans la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité dressée par l'Unesco, si leur candidature est retenue. Dans l'est de la capitale, le haut du faubourg Saint-Antoine cultive ses racines populaires grâce à des établissements de caractère, où le brassage social n'est pas un mythe. "Familial et chaleureux", avec sa clientèle composée "à 80% d'habitués", "Mon café offre des journaux, du wifi, mais aussi un coin paisible, garni de livres pour enfants qui "accueille tout le monde". "Si un enfant gueule, il gueule...c'est la vie", dit à l'AFP le gérant, Ilan Burday, 35 ans. Proche de l'hôpital Saint-Antoine, l'établissement reçoit aussi bien les habitants du quartier que des aides-soignants, des urgentistes au bout d'une nuit de travail, ou encore des patients qui viennent "parfois tous les jours, pendant un ou deux mois de traitement" et leurs proches. Dans un secteur dont les employés tournent beaucoup, l'équipe, souriante, est ancienne. "Ils sont contents de venir travailler, reviennent boire des coups sur leur temps de pause... certains partent en vacances avec des clients", relate M. Burday. "D'ailleurs je me suis marié avec une cliente: la libraire d'en face", rigole le jeune bistrotier, que l'on vient, à intervalles réguliers, féliciter: depuis 15 jours, il est papa d'un petit Nino. Derrière le comptoir trônent des cartes postales: "Salut les gars. Merci pour les séances de psy-bar au désespoir de ma banquière" dit celle de Méli. "Fallait quand même qu'on envoie une carte aux plus beaux barmen de Paris", clament Michelle et Flo. A quelques encablures se trouve la terrasse en forme de proue de navire du Chat bossu: "Un vieux bistrot, c'est un endroit où on n'a pas peur d'entrer. Chez moi, on sait qu'on n'en aura pas pour plus de 15 balles", dit le propriétaire, Hugues Barelle, 45 ans. - Les gros "mangent le business" - "Ici le café au bar est à 1 euro, le plat du jour à 10,90 euros", égrène-t-il. Sa clientèle ? "Un clodo, un flic, un marchand de vin, un avocat et le mec des poubelles", dit-il, désignant du menton ses voisins de comptoir. Plus tendance, La Parisienne du Faubourg vise "une clientèle girly" pour se distinguer de la concurrence et "parce que les femmes attirent les hommes et qu'elles consomment plus qualitatif, bio" affirme son gérant Benjamin Bourdin, 38 ans. Derrière le comptoir, il y est depuis 20 ans, "par accident" au début, aujourd'hui par amour d'un métier où "l'on rencontre beaucoup de gens et qui peut être assez sympa au niveau de la rémunération". "Mais c'est dur, très dur", dit-il après avoir avalé son déjeuner, debout devant son évier. Deux mois après avoir ouvert, il veille au grain 12 heures par jour parce que "recruter c'est une tannée, et ça coûte une fortune". M. Barelle, qui jongle entre trois établissements, a ramené ses journées à "sept ou huit heures" pour voir ses deux enfants. "Je n'ai presque pas élevé mon fils, à cause de ce métier. Il m'a vu dormir, c'est tout". Fatigué au bout de 29 ans, il "en a marre" et mettra ses affaires en gérance dans un ou deux ans, pour vivre en Grèce et "ne plus rien faire". Outre la dureté du métier, les difficultés s'accumulent, avouent les trois cafetiers, blâmant pêle-mêle une baisse de fréquentation, un pouvoir d'achat en berne, le succès des machines Nespresso et surtout la concurrence des Burger King, Indiana Café, Starbucks et autres chaînes qui "mangent le business". "Les prix ont explosé" dit M. Burday. Un fonds de commerce "qui se vendait 100 à 120% du chiffre d'affaires se vend 200%: les propriétaires savent que les gros vont acheter".

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Ambiance

Style bistrot
De quartier
Décontracté
Adapté aux familles

Cuisines

Français

Caractéristiques

Wifi

Types de repas

Déjeuner
Apero

Gamme de prix

Budget

Informations pratiques

Horaires
lundi07:00 - 01:00
mardi07:00 - 01:00
mercredi07:00 - 01:00
jeudi07:00 - 23:59
vendredi00:00 - 01:00, 07:00 - 01:00
samedi07:00 - 01:00
dimanche07:00 - 01:00
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