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Dalia, une cuisine levantine et une ambiance chaleureuse au coeur ...

Dalia Dans la cuisine 🍽Dans l’assiette Dans le verre Dans la salle Le petit plus Laurène Petit Ouverte au printemps 2021, cette maison levantine surfe sur la vague méditerranéenne : mezze, cocktails et grandes assiettes à partager au menu de ce vaste resto de 120m2 tout de rose poudré. La cheffe Or Bitan imagine une carte où pistaches, halloumi ou tahini ne sont jamais bien loin. On craque pour la salade de freekeh (blé vert fumé) et poulpe, le labneh aux légumes grillés ou la fraîche salade fattouche Délicieux pain maison brioché façon halla et dessert tout chocolat plutôt sympa. On plonge dans les cocktails créatifs comme le “Mediterranean Spritz” floral avec de la liqueur de sureau et de la fleur d’oranger ou pour le “Basil Haze” qui nous fait planer avec du gin, du zaatar…et de l’eau pétillante infusée au CBD ! À mi-chemin entre casbah pastel et table branchée du 2ème, Dalia assume un éclectisme jusque dans la (très bonne) playlist plutôt afro-latino qu’orientale. Coup de cœur pour la jolie vaisselle signée par la céramiste Marie de Martino. Les “big plates for the fam”, ces plats pour 4 ou 6 personnes (shakshuka géante ou épaule d’agneau de 7h) à partager avec votre famille de sang où de cœur. Crédits : Laurène Petit 93 Rue Montmartre, 75002 Paris, France

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Dalia | Restaurants à 2e arrondissement, Paris

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Dalia : le resto méditérannéen et festif avec Or Bitan en cuisine

La table festive qui cartonne dans le 2e La cheffe Or Bitan enchante une bistronomie levhantive Un brunch bien vu écrit par Où le trouver ? Je partage ! C’est ce qu’on appelle une reconversion réussie. Après quelques années dans la sphère des start-ups de la tech,Benjamin Cohenconcrétise enfin son rêve avecDalia.Créer unetable méditerranéenneà la fois stylée, joyeuse et foodie : “Middle Eastern promises''. Une pépite dans la lignée de la nouvelle génération des adresses créatives duMoyen-Orient, la touche cuisine d’auteur et glam’ en plus. Le rendez-vous est donc pris au 93 rue Montmartre, entre laBourseet leSentier. Et c’est bien simple : depuis son ouverture cet été, le resto ne désemplit pas. Mieux : il est blindé d’une clientèle de rêve venue mondaniser et se faire voir après le boulot : les power girls desmaisons de luxeet de la fashion, les joyeuses bandes de potes trentenaires et des fines gueules exigeantes qui aiment mixer les bons gueuletons et l’esprit de fête sans chichis. Ça drague, ça picole et ça rigole sévère dans une atmosphère comme on les aime... Pas de resto réussi sans décor très identifiable, à fort potentiel photogénique, rapport à Insta. La mise en scène du meilleur goût a été confiée austudio Mur.Mur Architectesqui a imaginé un lieu unique en son genre : banquettes sur la rue, baies vitrées grandes ouvertes, bar canon, tonalitéterracottaetmeuble en rotin. Pour assurer sa promesse gastronomique, Benjamin est allé chercher “la” cheffe qui fait référence pour faire émerger la nouvelle génération de tables orientalesMiznonetShouk. En l'occurrenceOr Bitan. Un pari d’autant plus réussi que ce coup-ci, elle laisse de côté les gimmicks de la street food pour affirmer unecuisine levantineà la fois simple, cool, élégante et raffinée. Et c’est un délice.Ça donne une dizaine d’assiettes de saison (spéciale dédicace à la céramique deMarie de Martino), pour une dînette qui intègre les codes chics du partage et des mezzés d’auteur. Véritable signature : soncarpaccio d’auberginesavec un tahini 2.0 à la mélasse de datte, pistache et crumble de feta (11 €), lestempuras de sardinesà l'aïoli au harissa (9 €), un exquislabné fuméà la sauge (11 €), des sashimis de maigre sauvage assaisonnés d’un yaourt grec au fenouil et olives de Kalamata (16 €) ou uncreamy houmoushors du commun sur lequel sont servis des abats de volaille (13 €). Une tuerie à arroser de vins nature et cocktails bien sentis, à commencer par le Dalia Mule (12 €) et autres cocktails citriques bien dans le goût de l’époque. Autre curiosité : unbrunchà la carte le week-end qui permet de jouer sur un registre plus familial et food porn : shakshuka (13 €), pita sandwich garni de viandes (11 €), assiette d'aubergines, tahini, œuf et salade arabic (14 €), mais surtout de se tester les desserts du pâtissier Noam Bechor avec un croissant perdu à la framboise et sauce addictive (10 €), un carrot cake (10 €) ou un exquismalabi, cette fameuse pannacotta du soleil levant (9 €). Ouvert tou...

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