Olive Chicken
Restaurant — Montparnasse (Paris)



About
Olive Chicken, a tiny Korean canteen in the Gaîté neighborhood, is a temple of dakgangjeong (Korean fried chicken) in Paris. In a minimalist white-walled setting, Chef Max offers marinated, breaded, and twice-fried chicken topped with an irresistible homemade sauce. The star of the place? Crispy, juicy boneless chicken pieces, served with fried tteok skewers. Best enjoyed with a highball or homemade lime and ginger lemonade, this spot is a true gem for Korean street food lovers.
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Où se régaler en mangeant halal à Paris ?
© Time Out LES MEILLEURS RESTAURANTS HALAL À PARIS Toutes nos adresses pour manger halal à Paris lundi 13 octobre 2025 Partager Bien manger halal à Paris ? Évidemment que c’est possible ! Il suffit d’aller s’attabler devant un couscous, un mafé ou un kebab et le tour est joué. Mais imaginons que le pratiquant gourmand ait envie de sortir un peu des spécialités du pourtour méditerranéen ou d’Afrique de l’Ouest ; alors l’affaire se complique et le risque grimpe sérieusement de se retrouver dans une adresse bizarre à la carte bottin mixant makis, tacos et lasagnes. Dans cette sélection, nous vous proposons plutôt nos adresses fétiches, où la cuisine respecte à la fois le rituel et le bon goût. SAMY’S BBQ BURGER Cette cambuse minimale de deux tables (et autant en terrasses) ne va pas faire se pâmer votre insta mais s’affiche glorieusement comme le « smash le moins cher de Paris ». Et attention Rafik Koudil le taulier ne lâche rien sur la qualité. Ici les potatoe buns sont maison, les frites aussi et la viande – 100% halal - hachée ou fumée sur place… Oui qualité peut rimer avec « pas cher payé » ! Où ? 72 Bd de Ménilmontant, Paris 20e NUMIDIA Avec ses fleurs en plastique accrochées au plafond, ses fausses briques et sa télé diffusant d’hypnotisantes vidéos de balades en voiture dans Alger, Numidia rappelle que les restaurants algériens modernes peuvent faire l’impasse sur la déco bédouine. Côté cuisine, en revanche, on reste sur du tradi maîtrisé. Chorba, brick au thon, tajine… Le passage obligatoire ? Le comptoir à brochettes où l’on pioche, dans le mikado de viandes, des foies d’agneau, des rognons, des merguez que le préposé au barbecue va faire griller sur un feu d’enfer. Un voyage de l’autre côté de la Méditerranée à prix d’ami. Où ? 126 rue d’Avron, Paris 12e OLIVE CHICKEN Cette discrète et étroite cantine, blanche comme les neiges du mont Paektu, délivre aux amateurs éclairés l’un des meilleurs poulets frits à la coréenne de la capitale : mariné, pané, frit (deux fois) puis nappé de sauce maison. Un régal régressif ! Le super bonus d’Olive ? La possibilité de choisir des morceaux sans os pour garder une certaine dignité quand on les boulotte. Où ? 6 rue Poinsot, Paris 14e. NOUILLES CEINTURES Une petite cantine chinoise spécialisée en nouilles de la province du Shaanxi. Accoudé à la table commune, on commande un bol rempli de bouillon fumant et de pâtes maison. On peut choisir la puissance de piment du premier et la largeur des secondes (qui va jusqu’au XL, large comme une ceinture, d’où le nom). Le tout s’accompagne de garniture halal – bœuf braisé, effiloché de poulet – pour une pause déj qui dépote. Où ? 69 rue du Faubourg-Poissonnière, Paris 9e. MUQAM Embarquement pour la province du Xinjiang au nord-ouest de la Chine, patrie des Ouïghours ! Muqam est l'un des seuls représentants de cette belle cuisine mixant saveurs chinoises et turques. Au programme de l’excursion : mordre dans des kawap, brochettes halal de bœuf, agneau ou poulet, marinées aux épices puis grillées, et aspirer des pâtes de froment appelées leghman. On dit que ce sont celles que Marco Polo a ramenées en Italie ! Où ? 36 rue de Trévise, Paris 9e. MAMA KOSSA En pleine Goutte d’Or, cette cantine pop s’inspire des cuisines de la diaspora africaine : un peu de Mali, un peu de Caraïbes, un peu de Louisiane, beaucoup d’influences street food, et tout halal. Le Kossa fried chicken est une crousti-bombe bien différente des versions coréennes ou japonaises avec sa panure relevée et une chair marinée dans des épices jamaïcaines pour un supplément de punch. A boulotter avec des allocos qui collent aux doigts. Où ? 8 rue Myrha, Paris 18e. AFRIK’N’FUSION Sur les écrans de télévision suspendus aux murs, c’est l’heure du JT de Jean-Pierre Pernaut mais un air de reggae couvre sa voix. Un groupe de huit jeunes débarque, lunettes de soleil dorées et bijoux clinquants, qui plaisantent dans un mélange de français et d’anglais. Bienvenue chez Afrik’N’Fusion, un fast-food africain à l’ambiance diner avec banquettes en cuir et frises de carrelage blanc et orange. Où ? 330 rue des Pyrénées, Paris 20e MASSAWA Il n’a rien du dernier endroit à la mode avec ses murs parme, ce bric-à-brac de tableaux kitsch un peu naïfs, ses guirlandes lumineuses ou cette écharpe aux couleurs de l’Erythrée suspendue au-dessus du comptoir. On y mange avec les mains des grandes galettes sur lesquelles sont posées les garnitures... Où ? 22 rue Château-Landon, Paris 10e L'HOMME BLEU C’est dans la bouillonnante rue Jean-Pierre Timbaud que l’Homme Bleu fait mijoter ses petits plats maghrébins. L’ambiance y est simple et accueillante. Tout le monde s’affaire en cuisine pendant que les brochettes, elles, grillent tranquillement sur le feu. Ici, on ne badine pas avec la tradition et les bonnes choses... Où ? 55 bis rue Jean-Pierre-Timbaud, Paris 11e LIZA Le plus parisien des restos beyrouthins ! Lancé par Liza Asseily en 2005, ce rendez-vous de la diaspora propose une carte bourrée comme une feuille de vigne de recettes traditionnelles aux twists contemporains bienvenus. Et lors des brunchs dominicaux, c’est ambiance levantine familiale ! Où ? 14 rue de la Banque, Paris 2e PLUS DE RESTAURANTS : LES MEILLEURS COUSCOUS DE PARIS Si le couscous est l’un des plats préférés des Français, trouver une bonne adresse où casser de la graine est une mission (quasi) impossible à Paname. Heureusement, Time Out Paris veille au grain ! Qu’ils soient algérien, marocain ou tunisien (“Maghreb united !”), voici notre sélection royale pour grailler les meilleurs couscous de la capitale. Vous y trouverez les classiques au poulet, les remix guez-mer ou les versions poulpeuses et iodées. De quoi se sentir comme un personnage de Kechich, la mobylette en moins ! LES MEILLEURS RESTAURANTS INDIENS DE PARIS Pendant longtemps, un restaurant qui s’affichait fièrement indien, avec tableau du Taj Mahal, carottes sculptées et divinités en bois ciselé, avait de fortes chances d’être tenu par des Tamouls du Sri Lanka ou des Pendjabis pakistanais, qui représentent la majorité de la diaspora dans la région. Pas grave en soi mais cela a eu tendance à ne proposer aux amateurs que des plats réinterprétés loin de leurs racines. A l’image du cheese nan à La Vache qui rit, inventé en France dans les années 70 ! On commence à peine à redécouvrir la véritable cuisine indienne, dans toute la diversité de ses terroirs et de ses recettes. Car l’Inde – plus qu’un pays, un sous-continent ! – est en fait un immense patchwork de spécialités. Le Pendjab fournit les bangers de la cuisine indienne : poulet tandoori (cuit au four tradi), biryanis, samosas, naans… Le Sud propose surtout des plats végétariens relevés de masala, un mélange d’épices (ou curry, mot d’origine tamoule qui signifie sauce) à bouloter avec du riz pour calmer le feu, et un dosa, une fine crêpe de farine de lentille. Au Bengale, on travaille plutôt les poissons et fruits de mer… Bref, s’attabler dans ces authentiques adresses indiennes qu’on vous a sélectionnées, c'est le voyage assuré. Alors, quand est-ce qu’on Gange ? LES MEILLEURS RESTAURANTS VÉGÉTARIENS ET VEGANS À PARIS On a chacun ses motivations pour arrêter de manger de la viande d’animal décédé. Certains le font par choix éthique contre la souffrance animale, d’autres poussés par les impératifs écologiques d’une consommation durable (et n’oublions pas la frange d’extrémistes qui détestent simplement les légumes vivants). Quelles que soient vos raisons, vous n’avez pas tort puisqu’on doit absolument réduire sa consommation de viande pour préserver notre planète. Bonne nouvelle, on n’est plus obligé de viser les tables certifiées 100 % végétariennes avec service en sarouel-sandales-patchouli pour se régaler sans viande. En piochant entre les brunchs, les burgers et les coffee shops, on vous a dégoté toute une liste de cantines et de restaurants où les végétariens et végan(e)s seront accueillis comme des altesses avec de vraies propositions de plats (et non
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Le meilleur de Montparnasse en 10 adresses en or et en art
En Grèce, le mont Parnasse est la demeure d’Apollon et de ses muses. A Paris, c’est en hommage à cette montagne sacrée que le quartier est renommé sous l’impulsion d’étudiants et poètes du Quartier latin qui viennent y déclamer des vers dès le XVIIe siècle. Loin de se réduire à une tour ou à une gare, Montparnasse fut d’abord et reste encore un haut lieu de l’art à Paris, du musée Bourdelle à la Fondation Cartier en passant par l’Institut Giacometti. Mais c’est aussi un coin de Paris largement ouvert sur la gastronomie – et du monde entier s’il vous plaît – avec mille et un bouis-bouis et autant d’adresses de haute volée. On vous a sélectionné nos 10 préférées ! Pour ne rien gâcher, on peut y prétendre à la vie d’artiste en s’installant dans un des nombreux anciens ateliers baignés de lumière qui n’attendent qu’un nouveau propriétaire. Attrapez-les tous sur leboncoin immo. NOS 10 ADRESSES PRÉFÉRÉES À MONTPARNASSE LE DUC Cette adresse, largement plus branchie que branchée, n’a pas dévié d’un pouce du cap donné en 1967. Une déco de cabine de goélette avec bois vernis signée Slavik et surout une cuisine iodée avec un approvisionnement de saison et de petits bateaux au service des recettes mythiques du lieu comme ce homard « Château de Feuilles » au gingembre et citronnelle ou une merveille de sole meunière. Pas de doute, le Duc déboîte. OPLA De voir sa mère, ses tantes et sa sœur bosser Chez Joy, adresse asiate mythique de la rue Daguerre, ça a donné l’envie à Jenny To, la petite dernière, de tâter elle aussi de la restauration. Hop là, elle ouvre Opla en 2021, 50 mètres plus loin dans la même rue. Une petite cambuse qui se garde bien de concurrencer l’affaire familiale en se concentrant sur le banh mi. Autour des casse-dalle viets gravitent des petites entrées et des desserts mitonnés maison qui font de cette adresse une vraie pépite. Dans la formule midi (10,50 €) on entame avec un banh he, grassouillette mais plaisante galette de riz gluant garnie de légumes, avant de mordre dans le dwich lui-même qui coche toutes les cases de l’exercice : une demi-baguette bien crousti débordante d’échine de porc laquée parfumée, carottes vinaigrées, coriandre fraîche, mayo et sauce Maggi. On termine avec un dodu flan thaï au taro et lait de coco. JUNI Dans la famille de la street food du monde, on demande l’Arménie avec Juni, ouvert en mars 2023 dans la très multiculturelle rue Daguerre. Ce comptoir tout moderne (grande vitrine sur rue, comptoir en bois clair cintrant le four, commande sur des écrans tactiles) propose des casse-dalle à base de pain lavash, ces fines galettes de blé habituellement cuites dans des fours enterrés (ici dans un four à pizza) et dans lesquelles on glisse des garnitures : bœuf haché, fromage, légumes marinés. On mord dans un juni « zartar » veggie (8,50 €), soit un roll long comme un avant-bras au zaatar rempli de pickles (concombre, carotte, cornichon) et de graines de grenade qui apportent une touche sucrée. Le tout se plonge dans une sauce à l’ail qui tue. C’est frais, croquant, plein de saveurs mais impossible à boulotter debout sans s’en mettre partout. On fait couler tout ça avec une infusion au thym our se sentir totalement en harmonie avec l’Arménie. MUSÉE BOURDELLE Bref, Antoine Bourdelle, l’un des monuments de la sculpture française, rêvait d'un temple érigé en son nom au cœur de la capitale. Ce fut chose faite en 1949 lorsque son épouse, Cléopâtre, fidèle à la volonté du mari défunt, inaugura ce musée dévolu à l'œuvre et à la vie de l’artiste. Les collections permanentes, dont l'accès est gratuit, occupent l’ancien atelier du créateur. Ils hébergent quantité de sculptures, dessins et photographies de Bourdelle, dont le fameux Héraklès archer, mais également une partie des collections personnelles de l’artiste, notamment des œuvres de Rodin, Carrière, Monticelli, Ingres et Delacroix. Mention spéciale pour les jardins, dédale de statues et de fougères où il fait bon se perdre. MOSUKE Piochant un ingrédient là, une épice ici, Mory Sacko joue à domicile, détendu et efficace. Le menu Migration, annoncé en six temps mais qui ouvre le bal avec quatre amuse-bouches très travaillés (comme cette aérienne bouchée au homard et mousseline de pomme de terre), se révèle une promenade gastronomique dans le jardin zen mental du cuisinier, profilée pour l’étoile. On y fourchette de grands petits plats comme cette bouillabaisse au maquereau, rouget et gombo farci ample et rassurante dans sa fausse simplicité ; ce sushi qui marche à l’omble escorté d’une volute de beurre blanc ; ce tronçon d’aubrac grillé au bichotan où le mafé apparait comme une évidence ; ou un dessert de citron et champignon avec un étonnant caramel au shiitaké. La carte des boissons carbure à cette triple inspi et des prix turbo : saké Dassai 23. Un beau voyage. FONDATION CARTIER POUR L'ART CONTEMPORAIN Depuis 1994, la Fondation Cartier illumine le boulevard Raspail, dans sn bâtiment signé Jean Nouvel : un immense cube de verre, de miroirs et de métal, érigé sur commande du bijoutier. Avec ses 1 200 m2 d’espace d’exposition, la fondation devient alors la Mecque de l’art contemporain à Paris. Marc Newson, Nobuyoshi Araki et Matthew Barney y font leurs premiers pas en France en 1995, suivis de Takashi Murakami et Huang Yong Ping. Au fil des expositions, les lieux se laissent, par la suite, tour à tour envahir par les guitares électriques du rock’n’roll et les bombes de graffiti. Les Deschiens défilent en polos à carreaux durant les soirées nomades (spectacles et performances nocturnes), tandis que les cinéastes David Lynch, Agnès Varda ou Takeshi Kitano emplissent le showroom modulable de leurs créations plastiques. De Raymond Depardon à Patti Smith ou de Moebius à Gary Hill, toutes les expressions trouvent un terrain d'entente dans ce lieu atypique, qui demeure à ce jour l’un des poumons de l’art contemporain en France. INSTITUT GIACOMETTI Impossible de visualiser la scène de Montparnasse sans penser à Alberto Giacometti. Superstar de la sculpture, l’artiste imagine et conçoit ses personnages fantasques dans un petit espace d’une vingtaine de mètres carrés. Reconstitué à l’identique par les équipes de la Fondation Giacometti, le spot a l’air plus vrai que nature. De la palette de peinture aux fringues qui traînent sur le lit en passant par le mégot dans le cendrier, tout ici a été méticuleusement conservé et restitué par sa veuve. On pénètre ainsi timidement dans l’intimité du grand maître, que l’on s'attendait presque à voir passer le pas de la porte après un arrêt au café du coin, accompagné d’un Robert Doisneau ou d’une Sabine Weiss, qui n’ont cessé de photographier ce spot mythique de la création. OLIVE CHICKEN Olive Chicken est une cantine du Sud. Mais celui de la Corée ! Ici, on ne propose que du dakgangjeong, le poulet frit de là-bas. Et disons-le tout net, c'est un des tout meilleurs dans sa catégorie, à déguster dans un boui-boui bruyant et dépouillé (murs blancs, six tables et basta). On reste donc concentré sur la star du lieu : le poulet (issu d’élevage responsable, assure la carte), mariné, pané, frit (deux fois) puis nappé de sauce maison. Pour parfaire l’expérience séoulite, on copie la table de Coréennes d’à côté et on accompagne la grande assiette (17 €) d’une brochette de tteoks (gâteaux de riz) frits, curiosité craquante dehors et moelleuse dedans mais un peu bourrative (la prochaine fois, on tentera la tempura d’haricots verts). A faire couler avec une chopine de High Ball (cocktail whisky + soda très prisé vers la mer du Japon) ou, si vous avez des trucs à faire en sortant de table, une limonade maison au citron vert et gingembre. BOBANCE BAR & CAVE Bobance, c’est d’abord un emplacement incroyable, une petite place cachée du 14e, presqu'île de trottoir ultra-photogénique avec un couple de platanes qui ombrent la jolie terrasse. Bobance, c’est surtout une ambiance en or massif où les habitués s’appellent par leur prénom, vident des canons, se racontent leu
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Les 13 meilleurs restaurants coréens de Paris pour se croire comme à Séoul
Bokko Le meilleur du restaurant coréen à Paris ! Bibimbap, barbecue coréen, mandoo… Plongez dans Little Séoul ! lundi 3 février 2025 Partager Avec plus de 200 adresses proposant bibimbap, poulet frit, mandoo et autres nouilles de patate douce, la cuisine (sud-)coréenne déferle sur Paris et prouve bien que Séoul rime avec cool ! Voilà une gastronomie étonnante qui excelle dans la street food réconfortante et a su marier les ingrédients traditionnels asiatiques (les fermentations de chou ou de soja, le riz, le piment…), les recettes des Américains stationnés durant la Guerre de Corée (le fried chicken !) et l’inventivité de périodes difficiles. Résultat : la K-food, bien différentes de ses voisines chinoises et japonaises, s’adapte autant au bol pris rapidos sur un banc qu’au barbecue en bande organisée. Voilà notre sélection des meilleurs restaurants coréens, en mode salé, sucré ou sucré-salé ! LES MEILLEURS RESTAURANTS CORÉENS DE PARIS BISTROT MEE Le Mee ne fait pas le moine. Sous des atours chicos, ce resto coréen délivre des spécialités du pays à des prix doux comme un panda roux. Dodus mandoo, salade de bulots, bulgogi à gogo et surtout un des meilleurs bibimbaps de Paris, grésillant dans son bol de pierre. Bref foncez à l’adoré Mee. Où ? 5 Rue d'Argenteuil, 75001 Paris LES PETITES DALLES Attention c’est avec une grosse dalle qu’il faut s’attabler ici si on veut venir à bout des portions géantes servies aux Petites Dalles ! Dans la carte garnie de classiques coréens : crêpe au kimchi format pizza, octuple raviolis au poulet bien croustillants, bulgogi cuit devant nous, dans une version coréenne du service à la russe. Où ? 357 rue Lecourbe, Paris 15e JIP Esu Lee a inauguré son très attendu restaurant Jip (« maison » dans la langue de Squid Game). Une boîte à chaussures (ou un wagon-restaurant) que les miroirs ont bien du mal à agrandir. La carte minimale propose un menu unique en trois étapes à la la gourmandise décomplexée 100 % coréennes et 50 % végétariennes : sashimi, feuilles de radicchio et sauce gochujang à la prune fermentée ; raviolis de champignon et filaments de patate douce crousti couchés sur une moelleuse "béarnaise" tiède ; bol de nouilles et bouillon en fusion. Où ? 112 rue de la Roquette, Paris 11e OMA Voilà une convaincante adresse coréenne qui change des barbecues ou de la street food. Chez Oma (« maman »), chic restaurant de l’hôtel Château des Fleurs, la cheffe Ji-Hye Park, qui a déménagé du 9e pour poser ses fermentations dans le Triangle d’or, déploie recettes de là-bas et twists asiatiques. On se régale de makis coréens, bourrés de maquereau, de ciboulette et de raifort ou d’un suyuk, tranches de poitrine de porc bouillies puis saisies au grill, escortées de sucrine braisée et surtout d’une diabolique sauce ssamjang maison au piment. Dans la (petite) famille des tables coréennes gastronomiques qui comptent, on ne va pas pouvoir omettre Oma. Où ? 19 rue Vernet Paris 8e MANDOOBAR K-pop en fond sonore, ampoules suspendues, briques en bois… Et, derrière son comptoir en bois clair, Kim Kwang-loc, véritable chef d’orchestre qui dépote du panier bambou à gogo, remplis de mandoo, cousins coréens des gyozas japonais. Soit des raviolis vapeur (pâte de farine de blé et de riz gluant), légers et fondants en bouche, fourrés de bœuf, tofu, shiitakés, vermicelles de patate douce, sauce soja, ail et poivre noir. Mais aussi des tartares minute de poisson ou de bœuf extra ! Où ? 7 rue d’Edimbourg, Paris 8e. JIUM Un discrète gargote drôlement bien fagotée (suspension en opaline, faïence chinée, meuble en bois blond) où, depuis la petite cuisine ouverte, Kim Hong Sung envoie de la cuisine coréenne qui change. Mandoo ultra crispy, affolant gueban au poulet en cocotte Staub (riz gluant, pépins de potiron et tournesol, jujube), revigoré par une sauce soja maison, ou bulgogi aux petits oignons. Où ? 26 rue Tiphaine, Paris 15e. SAAM La Coréenne Yoonsun Kim jette l'ancre du côté du canal Saint-Martin avec cette cantoche mur gratté et Formica pour de la street food qui fait le grand écart entre Séoul et Taïwan. Pour le premier, des dupbap (bols de riz à accompagner au choix de poisson, viande ou tofu) et pour le deuxième; un assortiment de gua bao, dodus pains vapeurs garnis de bœuf marinade sauce BBQ, mayo coréenne, pickles radis blanc. Et pour faire passer le tout, une bouteille de soju ! Où ? 59 bis rue de Lancry, Paris 10e. OLIVE CHICKEN Cette discrète et étroite cantine, blanche comme les neiges du mont Paektu, délivre aux amateurs éclairés l’un des meilleurs poulets frits à la coréenne de la capitale : mariné, pané, frit (deux fois) puis nappé de sauce maison. Un régal régressif ! Le super bonus d’Olive ? La possibilité de choisir des morceaux sans os pour garder une certaine dignité quand on les boulotte. Où ? 6 rue Poinsot, Paris 14e. PLUS 82 PARIS Le premier salon de thé coréen de Paris pour monomaniaques du bingsu, ce dessert traditionnel à base de glace pilée, poudre de sésame, haricots rouges, flanqué d’une boule de crème glacée, de lait concentré sucré. Mais on y trouve aussi des bungeo-ppang, cette pâtisserie en forme de poisson farcie de pâte de haricots rouges sucrée, ou des cakes au matcha. Où ? 11 bis rue Vauquelin, Paris 5e. BOKKO Dans un cadre de cantine animée par des clips de K-pop épileptiques, cette adresse ultra-typique s’est imposée parmi les favoris de la diaspora séouliote depuis son ouverture en 2019. A la carte, un bel éventail de la cuisine coréenne depuis la street food lèche-doigts (poulet frit, tteokbokki, dunbap) aux bols plus ménagers (curieuses pâtes à la sauce au haricot ou ragoût de soja fermenté). Etonnant ! Où ? 11 place du Commerce, Paris 15e. DONG NÉ CHICKEN Dong Né, qui propose déjà une adresse orientée soupe et nouille dans le 15e, ouvre ce troquet à poulet frit à deux pas de la bibli Richelieu. Tables en baril, petites assiettes en plastique et décors d’une rue coréenne avec fausse cabine téléphonique, dazibao et façades en trompe-l’œil. Au menu, des ailes de poulet juteuses (12 € les six) s’envolent en flux tendu depuis le petit comptoir. Version crispy nature à la panure bien croustillante, yangyeom nappées d’une sauce sucrée gentiment hot (notre pref). A se lécher les doigts ! Où ? 51, rue de Richelieu Paris 2e. BEKSEJU VILLAGE Des jolies tables en bois et des lampions blancs qui éclairent avec douceur la vaisselle en métal doré… Il émane de ce bistrot coréen sobre et élégant une atmosphère toute zen. A la carte, les grands classiques comme le bibimbap rissolant dans son bol de pierre, mais aussi des plats moins souvent croisés comme ce jarret de porc mariné au bekseju, vin coréen issu de la fermentation de riz cru et d’épices. Où ? 53 boulevard Saint-Marcel, Paris 13e. SOON GRILL Depuis cette salle épurée mêlant pierres de taille parisiennes et zen oriental, Sunghak Han propose l’un des meilleurs barbecues coréens de la capitale. La viande à jeter sur le grill vient de chez Metzger, le célèbre boucher de Neuilly (faux-filet de simmental maturé 40 jours, bœuf de Kobé…), et ça se sent ! Mais le chef cisèle aussi des plats typiques de chez lui : escadrille de mandoos (des raviolis grillés), bibimbap au tartare de bœuf ou nouilles de sarrasin froides et piquantes (bibim naengmion)… A faire couler avec des jajas nature. Où ? 78 rue des Tournelles, Paris 3e. ET APRÈS LES MEILLEURS RESTAURANTS CORÉENS DE PARIS... 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