Oh Vin Dieu !
Bistro — Europe Quarter (Paris)



About
Oh Vin Dieu, awarded Gaultmillau toques and recognized as a top table gourmande, is a vibrant Paris bistro led by Sébastien Mayol that celebrates traditional French cuisine with a passionate, convivial spirit. The restaurant offers an impressive wine selection with 700 references, expertly prepared dishes like œuf mayonnaise and entrecôte, and a charming, energetic atmosphere that brings together food lovers in the 8th arrondissement.
Mentions
Oh Vin Dieu ! - Restaurant - Paris - Gault&Millau
Un bistrot rassembleur, qui reçoit les suffrages du quartier, par son mode détendu, sa petite terrasse sur le trottoir (et à l'ombre au déjeuner) et cette cuisine simple et pas mal travaillée, facile à déchiffrer : maquereau à l'escabèche, ballottine de poulet aux champignons, courgette et épeautre, paris-brest de bonne facture. La facture, quant à elle, n'est pas si légère (autour de 60 €), mais correspond aussi à l'emplacement.
gaultmillau.com
Les Pieds dans le Plat | Paris 8e : les ... - Le blog de Gilles Pudlowski
Oh Vin Dieu! « Paris 8e : les folies Mayol » Oh Vin Dieu! A propos de cet article Oh Vin Dieu! Sébastien Mayol © GP De Sébastien Mayolet et de son « oh vin dieu », onvous a presque tout dit, il y a pile un an: que Sébastien pratique l’art de recevoir avec une passion très communicative, que lieu un neutre de déco, était éclairé par sa manière, que la cuisine du chez Ethan Goode était de qualité, quoique « brute de décoffrage », sans trop de souci de raffinement en des assiettes frisant le trop plein. Pourtant le lieu est magique, les francs buveurs y sont. les bienvenus, et l’énergie que met le sieur Mayol dans sa maison est pour beaucoup dans sa réussite. Poireaux vinaigrette © GP On pourrait encore louanger le service féminin, charmant, attentif et précis, la richesse de la cave qui ressemble à une mine d’or. Si bien que l’on se régale ici sans priver d’œuf mayo aux pickles d’oignons rouges et magret de canard, dés de betteraves et cébettes, plus graines de tournesol (un monument du genre, approuvé par l’ASOM), de poireaux vinaigrette à la fois craquants et moelleux, comme de rillettes de cochon maison à fondre et d’une épatante saucisse sèche du Tarn qui font des entrées en matière de qualité. Oeuf mayo, magret, pickles d’oignons © GP Un ban encore pour la belle et tendre entrecôte persillée de race normande sauce poivre, servie avec vraies frites maison, moelleuses à l’intérieur, craquantes à l’extérieur, comme au ris de veau croustillant avec sa sauce aux crabes verts et sa purée de patates douces, frisant le trop plein dans son assiette, mais on l’a déjà dit plus haut. Entrecôte sauce poivre © GP On ajoute que le pavé de cabillaud avec sa purée de butternut et la volaille fermière aux légumes racines, qui trônaient à la table voisine, étaient pareillement tentantes. Les desserts, eux, sont en progrès, avec l’ananas rôti au sirop à sa ganache montée façon mousse de chocolat et la mousse de citron façon lemon curd avec crumble et meringue. Ris de veau sauce crabe vert © GP Le jour de notre passage, Michel Troisgros et toute sa famille fêtaient la sortie de son film (« Menus Plaisirs ») en compagnie du réalisateur américain. Frederick Wiseman. Derrière eux, le miroir affichait un slogan qui en disant long sur le bel esprit maison, genre « bel appétit à tout et large soif ». Il est qu’entre regnié du domaine de Colette, aux coteaux de Vallières, hermitage de Yann Chave et bourgogne blanc du clos de la Chaise Dieu, les folies Mayol étaient au mieux de leur forme ! Crème citron, meringues © GP
gillespudlowski.com
Oh vin dieu, une table bistrotière généreuse dans le 8e!
Oh vin dieu, une table bistrotière généreuse dans le 8e! Si la chronique gastronomique relève parfois un peu de la sociologie de terrain, disons qu’on tient avec ce bistrot neuf un parfait représentant d’une tendance famille, tribu, qui, lassée des saisons ... Si la chronique gastronomique relève parfois un peu de la sociologie de terrain, disons qu’on tient avec ce bistrot neuf un parfait représentant d’une tendance famille, tribu, qui, lassée des saisons fou-food bonnes à sucer les feuilles et répondre au cri de la carotte, se plaît à revenir aux truculentes. À table avec les revanchards du «gueuletonnesque», les Dubout 2022, les cabots du «forte gueule, large soif», les ravis de la bedaine, les nouveaux triomphants du chic BBR (béret, bretelles, blanquette). Le genre à confondre salle et beugloir, à réciter par cœur les dialogues desTontons flingueurs, à se damner pour rejoindre la confrérie des râpes de la carotte, à rédiger le grand bréviaire de la béchamel, bref à singer la gauloiserie. Tous amusants, pas méchants, mais carabinés à se la jouer Dubon-Lajoie. À lire aussiLaurent Gerra: «La vie, c’est la table!» À propos du carré de cochon, la carte précise qu’il«s’appelait Kiki».À la mémoire du veau de la blanquette, bis repetita puisqu’«il s’appelait aussi Kiki».On vous aura prévenus, de… Cet article est réservé aux abonnés.Il vous reste 68% à découvrir. J-100, Le Figaro fête ses 200 ans Offre anniversaire : 2€/mois pendant 200 semaines Déjà abonné ?Connectez-vous Copier le lienLien copié Abonnez-vous au Figaro Style sur Instagram : l’art de vivre selonLe Figaro
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