Mamma Primi
Italian restaurant — Batignolles (Paris)



About
Awarded by Gaultmillau with toques and recognition, Mamma Primi is a celebrated Italian restaurant in the Batignolles neighborhood of Paris. The restaurant offers handmade pasta, wood-fired pizzas, and carefully sourced Italian ingredients, creating an authentic trattoria experience with a modern, chic bistro atmosphere. Known for its vibrant service, beautiful decor, and exceptional primi piatti like truffle mascarpone pasta and tortelli mantovani, it's a must-visit destination for Italian cuisine lovers.
Mentions
Mamma Primi Restaurant Paris
Mamma Primi À côté Recevez le meilleur de Paris Recevez le meilleur de Paris Cette page n'a pas encore été revendiquée par son propriétaire. ParisBouge gère les infos L'avis de ParisBouge pour le restaurant Mamma Primi Le restaurant Mamma Primi n'a pas encore été testé par la rédaction de ParisBouge Voir tous les restaurants testés à ParisRecevez par e-mail nos prochains avis de restaurants 18 Rue Boursault, 75017 Paris, France Afficher sur un plan Prochains événements Aucun événement à venir pourMamma Primi. Cette page n'a pas d'administrateur C'est votre établissement ?revendiquez cette page Chargement... Les nouvelles adresses parisiennes à découvrir avant tout le monde, les événements à ne pas manquer, des invitations, et pleins d'autres avantages exclusifs, chaque mercredi dans votre boîte mail ! Localisation en cours Merci de désactiver votre bloqueur de publicités ParisBouge ne peut exister sans revenus publicitaires Mme Shawn Batignolles Breizh Café Batignolles Les Poulettes Batignolles
parisbouge.com
Mamma Primi - Restaurant - Paris - Gault&Millau
L'imposante machinerie Big Mamma dans sa version Batignolles, avec tous les atouts qui ont fait le succès du groupe : produits italiens sourcés, recettes calquées au milligramme, service très dynamique... Pour tous les arrivants heureux de faire la queue, la récompense est bien là une fois installé, avec la pizza hot wheels nduja et ricotta et les tagliatelle à l'effiloché de canard.
gaultmillau.com
Grâce au confinement, j'ai réussi à manger chez Big Mamma (enfin ...
Notre journaliste raconte comment les deux mois de confinement ont changé la vie de son quartier des Batignolles. ParAnne Berthod Publié le 08 juin 2020 à 14h30 Mis à jour le 08 décembre 2020 à 00h20 Ils étaient sous mes yeux depuis des années, quatre étages en contrebas : quinze tirages photo cimentés au mur de l’IUFM en face de mon immeuble, portraits miniatures volés puis rendus à la rue parisienne par le photographe #Backtothestreet. Il m’aura fallu de longues heures avachie sur la rambarde de ma fenêtre, à guetter un signe de vie dans mes Batignolles confinées pour que j’y prête enfin attention et aille regarder de plus près. Ces personnages insolites, qui observent discrètement les passants sur le trottoir de la rue de la Condamine (en face du 92), m’enchantent. Quelques jours plus tôt, en allant chercher (en vain) des tomates dignes de ce nom, j’ai découvert avec le même plaisir la grande fresque muraliste réalisée en 2018 sur les alcôves extérieures du marché couvert, avec, au coin de la rue Brochant et de la rue Fourneyron, une Alice en trompe-l’œil m’invitant à passer de l’autre côté du miroir… En réalité, j’avais oublié que mon « village » bobo était encore un lieu de créativité, boosté par ses spots de street art fleuris, entre le périphérique et la rue Biot. Ces dernières années, je l’ai vu se métamorphoser. Dans ma rue Boursault, qui végétait pépère en parallèle de l’effervescente rue des Batignolles, bars et restos ont poussé comme des champignons. Les mesures sanitaires l’ont replongée dans le sommeil. J’avais même fini par croire que seuls les pompiers n’étaient pas partis se confiner dans leur résidence secondaire. Deux mois durant, la routine quotidienne de la caserne a rythmé la vie du quartier. À 18h, c’était cardio dans le salon, en même temps que les femmes des soldats du feu sur leur toit terrasse. Dans la vie d’avant, c’était le rituel cri de guerre des serveurs hipsters de Mamma Primi, tout au bout de la rue, qui narguait deux fois par jour nos estomacs. C’en était même énervant : impossible d’avoir une table sans faire la queue pendant une demi-heure ! À l’aube du déconfinement des bars, les brasseurs artisanaux sous pression Autant dire que quand l’enseigne s’est mise au click & collect, j’ai passé commande. Les lasagnes étaient indigestes, mais les pâtes ricotta-citron en kit DIY étaient à tomber par terre et mon salami truffé, fondant à souhait. À nouveau, la queue s’est reformée sur le trottoir. LeMamma Primi.© Cyane Villiers Depuis, j’ai fait comme les tournesols batignollais, qui, chassés de leurs parcs, ont transformé le parvis de l’église sur la place Félix-Lobligeois en nouveau Paris-plage : j’ai changé de crémerie. Car plusieurs restaurants proposent désormais l’apéro à emporter. Entre les planches traditionnelles « sans contact » (20-40 €) de la Fédération française de l’apéro et les mozzas démentes de Mamma Primi (7-12 €), en face, j’ai trouvé mon bonheur à L’Île Maurice : une « apéro box » de samossas, accr...
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