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ELLE food spot : jolie Jolia, l'adresse parfaite pour un brunch aux ...

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Le nouveau restaurant festif Jolia dans le 11e

Atmosphère distinguée Une ambiance de fête en soirée Place aux assiettes Nota bene écrit par Où le trouver ? Je partage ! Benjamin Cohensait nous faire kiffer ! En 2021, il nous offraitDalia,tableméditerranéennejoyeuse et stylée qui est montée direct sur le podium de nosadresses préf’ ! En 2023, il double la mise, part à l’Est côté 11e et ouvreJoliaquiconserve l’A.D.N. familial, solaire et vibrant comme son aînée, une touche de glam’ etde créativité en plus. On vous dit tout. Imaginé par lesarchitectes de Jaune,Joliac’est un grand espace en L scénarisé autour de deux éléments principaux :le barqui nous accueille dès l’entrée dans le restaurant et lacuisine ouverte, postée à l’opposé et surmontée d’uncomptoiroù l’on peut s’installer. Autour, de longues rangées detables, desbanquettesenveloursmordorées enveloppantes en écho aux teintes miel de lasalle boiséeet une succession desuspensionsqui diffusent unelumièreultra-douce le soir. De jour, les larges baies vitrées se chargent de faire entrer lalumièreà profusion. Le combo gagnant pour une soirée funky à souhait ? D’abord, descocktailssur-mesure qui subliment les plats, véritables cuisine liquide comme le divinAdeia, tout en légèreté avec un gin infusé à l’huile de coco ou l’intense Kaydi au rhum blanc infusé aupiment d’Espelette. Ensuite, une belle sélection devins nature, bio et en biodynamie, sans oublier uneplaylist discoqui balance les watts et une cuisine de partage élaborée avec deux chefs derrière les fourneaux. En cuisine, d’un côtéSteve Zylbersztejn, franco-israélien, ex-chef exécutif deMagnivà Paris et deDalia, passé par Hong Kong et auprès des grandes toques (Alain Senderens,Jérôme Banctel), de l’autre lacheffe pâtissièreisraélienneChen Zikry, ex-Balagan, déjà chez Dalia et qui régale de ses partitions sucrées. En duo, les deux élaborent unecuisine orientaleaux saveurs bien balancées, audacieuses et créatives qui subliment les viandes et les poissons et font la part belle au végétal. Le tout pimpé par une cuisson à la braise et des produits top quali et pleine saison. Le partage, c’est le crédo deJoliaet ça commence en “cassant le pain”, leMalka Bread,unebriochemaison à l’huile d’oliveaccompagnée d’unbeurreparfumé homemade(12 €) : belle entrée en matière ! Puis place à un étonnanthoumousdechou-fleurgrillé (8 €) et des coquinshalloumisfritsauzaataret aumiel(10 €). On poursuit en se laissant guider par les conseils de la serveuse qui nous dit de foncer sur labrochette de céleri-raveet samayo spicy: wow ! (12 €). On double la mise avec lechicken shawarma,tehinaà lacoriandreetpain laffa: on pourrait ne revenir que pour lui (14 €) ! On termine avec le délicatcarpacciodeSaint-Jacquesauxpistachesetchocolat blancrâpé (20 €). L’heure dusucréa sonné et c’est avec laganache chocolatrelevée d’uncrumbled’olives kalamataque l’on clôture ce superdîner(10 €). Les samedis et dimanches midi, c’estbrunch orientalchezJoliaavec des mezzés quiremplissent les tables : tehina, carottes à la marocaines, pain au...

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Jolia Restaurant Paris

Jolia À côté Recevez le meilleur de Paris Recevez le meilleur de Paris Cette page n'a pas encore été revendiquée par son propriétaire. ParisBouge gère les infos L'avis de ParisBouge pour le restaurant Jolia A croire que toute la foodosphère parisienne était aux aguets de l’ouverture deJolia, la deuxième adresse durestaurant Dalia, qui s’installe cette fois à l’Est, rue du Chemin-Vert. Nous qui avons l’habitude des déjeuners tardifs, souvent dans une salle vide lorsque nous partons découvrir un nouveau restaurant, et bien chezJoliac’était bien rempli pour ce deuxième jour d’ouverture au déjeuner (on leur a laissé un jour pour répéter). En entrant dans lerestaurant Jolia, on ne peut s'empêcher de remarquer ce petit air de Dalia, avec ces grandes fenêtres qui longent tout le restaurant et ces tables en enfilades. Cependant, ici c’est plus petit et configuré en « L ». On retrouve aussi un petit air durestaurant Tekéspar les tonalités chaleureuses et le comptoir en zinc face à la cuisine ouverte. Joliafait honneur à la cuisine du Moyen-Orient, vous ne serez pas dépaysés si vous avez aimé Dalia. En cuisine on retrouve le chefSteve Zylbersztejn, l’ex-chef exécutif de Magniv, un restaurant aux influences israéliennes et méditerranéennes. Aurestaurant Jolia, il dévoile une carte aux saveurs levantines centrées sur les cuissons à la braise, rituel emblématique de la cuisine des pays méditerranéens mais aussi nouvelle tendance ces derniers temps (Braise,Ardent…). Au déjeuner, la carte est plutôt restreinte, et avec notre retard il n'y a même plus de Chicken Shawarma. On saute les dips et on file tout droit aux entrées avec les Pois cassés au curcuma, halloumi grillé au miel, croûton au zaatar et huile de ciboulette, et les Panais confits & grillés, et vu qu’il est tard, on commande au passage le Filet de bar et butternut rôti avant que les cuisines ne ferment. Nous voilà avec nos trois assiettes pleines de légumes, d’épices, de sauces, de dips et d’huile d’olive. La promesse est tenue, on retrouve ce pourquoi on est venu : des légumes bruts, simplement sublimés et bien marqués par le feu, des sauces, avec du piquant, du sucré, tout ça mélangé… Une explosion de saveurs qui fait voyager. Les cuissons sont justes, notamment celle du filet de bar. On s’y perd un peu entre les intitulés des plats et ce qu’on a dans l’assiette. On n’a pas vu de croûtons au zaatar avec le halloumi, ni de butternut avec le bar, mais une courge. Laquelle ? aucune idée... Qu’est-ce que ça change puisque la gourmandise est là et c’est l’essentiel. Lerestaurant Joliavient d’ouvrir et est encore en rodage, aucune importance. Seul bémol sur les panais qui étaient un peu ensablés. On ne manquera pas de le signaler lors du fameux « tout se passe bien ? » de notre serveur, et ce sera déduit de notre addition sans avoir demandé quoi que ce soit, c’est fair play. On a connu des restaurants où on avait juste le droit à un “désolé”... Sur les conseils de notre serveur on termine sur une touche ...

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