Empire de raviolis
Chinese restaurant — Quartier De La Salpetriere (Paris)



About
Empire du Ravioli is an authentic small Chinese canteen located in the 13th arrondissement, specializing in homemade dumplings. This tiny yet lively restaurant attracts a diverse crowd of neighborhood Chinese, students, and Asian cuisine enthusiasts who enjoy freshly prepared dumplings. The menu offers about ten dumpling varieties, with lamb-coriander and pork-cabbage being particularly popular. The establishment stands out for its simplicity, dumplings made to order by an expert duo of cooks, and very affordable prices (around €12 for 15 dumplings). The atmosphere is typical of a Chinese canteen: noisy, convivial, and unpretentious, with a grayish tiled floor and characteristic red facade.
Mentions
L’Empire du ravioli – C'est meilleur quand c'est bon
88 Bd de l'Hôpital, 75013 Paris Meilleurs raviolis chinois de Paris. On y mange essentiellement des raviolis préparés devant vous à la commande puis au choix grillés, bouillis ou frits. Reste à choisir la farce et c’est parti pour un merveilleux repas à prix très doux.
cestmeilleurquandcestbon.com
Butte aux Cailles / Bercy - Time Out Paris
Shutterstock Entre rive gauche et rive droite, tour d'horizon d'un quartier en pleine effervescence Partager La butte aux Cailles est au sud ce que la butte Montmartre est au nord : un village préservé des grands travaux haussmanniens, avec ses rues pavées labyrinthiques autrefois parsemées de moulins à vent, ses placettes arborées en pente douce et ses petits vieux sur les bancs, immuables. Pourtant toute proche du centre commercial ultra moderne et des cinémas de la bourdonnante place d’Italie, la butte aux Cailles est un havre de tranquillité qui a gardé son charme d’antan et reste méconnu des touristes. Comme une escapade en plein Paris, on aime s’y perdre entre les maisons ouvrières et leurs jardinets, emprunter des passages étroits tapissés de lierre, découvrir les dessins de Miss Tic et Nemo sur les murs. On vient dîner Au Temps des Cerises entre amis, prendre un verre au Merle Moqueur ou à La Folie en Tête, des noms tirés de la même célèbre chanson (si, si, fredonnez-la !). La charmante rue des Cinq Diamants égrène ses petits restaurants, dont le fameux Chez Gladines, toujours plein à craquer. A quelques stations de métro, Bercy est au contraire un quartier ultra moderne construit sur les anciens entrepôts de vins de la capitale, autour d’un paquebot architectural : le ministère des Finances. Le Palais omnisport avec ses événements sportifs et ses concerts, l’agréable et ludique parc de Bercy, la Cinémathèque et le « Village » avec son cinéma, ses magasins et ses restaurants, ont donné une dynamique nouvelle à ce quartier excentré auquel on reprochait son ambiance froide. Sur l’autre rive se dressent les tours de la BnF, un pôle culturel exceptionnel où sont proposées des expos remarquables. Si on aime les fêtes sur les bateaux, on vient profiter d’un concert de musique expérimentale à la Dame de Canton ou danser sur des beats électro dans les cales du Batofar. L’été, une plage s’installe sur les quais, donnant aux bords de Seine des airs de station balnéaire. RESTAURANTS À BUTTE AUX CAILLES / BERCY RESTAURANT PASSERINI Le Romain Giovanni Passerini a été encensé urbi et orbi dès son arrivée en France en 2010, d’abord chez feu Rino puis chez ce Passerini, plus terroir, depuis 2016. Aujourd’hui, la poussière de la hype retombée, l’adresse du quartier d’Aligre vit sa vie tranquille de grande table droite et discrète. Dans le décor épuré signé Asma Architects (terrazzo, suspensions indus’) qui a mieux vieilli que nous, le chef, toujours un pied dans la Botte, distille son talent dans une cuisine sensible, précise, éclatante. La carte a évolué à la marge, et ça fait plaisir de retrouver les grands classiques qui ont fait la renommée du lieu, comme les tripes à la romaine, les suaves raviolis ricotta-épinards au beurre de sauge ou le mythique pigeon en deux services (98 € pour deux, ouch) dont on peut commander (si on est seul) les fabuleux tagliolini nappés d’une sauce au foie et abats du volatile, puissante et tellurique. Les meilleures pâtes de Paris ? Oui. Le plat du jour prend un peu de distance avec l’Italie mais pas avec l’équilibre : la lotte aux épices parfaitement cuite, celtuce grillée, jus de moule et cocos de Paimpol régale de fumé, d’acidité et de douceur… On l’escorte des vins nature – plutôt français – castés par Justine Passerini (Passerina) avant de conclure avec un convaincant semifreddo à la pistache et reine-claude sous un édredon de fromage blanc en espuma. Ici, c’est Passerini ! Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos journalistes, en... MAY HONG Pour qui ? Toi, après avoir fait la razzia chez Tang Frères à côté !Plat culte ? Le fameux pho au bœuf – peut-être le meilleur de Paris mais chut, ne le répétez pas. Ou les assiettes garnies.Bon plan ? Le Cơm Gà (riz au poulet grillé) 9 €Le salon de thé vietnamien situé au cœur de la conviviale galerie d’Olympiades, véritable bouillon asiatique où l’on trouve de tout, propose d'excellentes soupes pho. Un lieu ouvert exclusivement en journée, auquel ses grandes baies vitrées donnant sur l’esplanade confèrent une atmosphère tranquille, particulièrement appréciable les jours de soleil timide d’hiver. Le menu ne s’étale pas, ce qui peut être un gage de qualité : quelques entrées classiques et incontournables (salades de papaye, rouleaux de printemps, banh cuon, banh beo tom, entre 6 et 7,50 €), des assiettes garnies (riz et viandes, de 7 à 8,50 €), les soupes traditionnelles (le fameux pho au bœuf – peut-être le meilleur de Paris mais chut, ne le répétez pas – ou au poulet à 8,30 €, ou encore par exemple la soupe impériale de Hue à 8,50 €). Les desserts commencent tous par « délice » et coûtent tous 3,90 € ; dans la famille Délices, nous avons essayé pour vous le délice de longanes et graines de lotus, un dépaysant et pas désagréable mélange de saveurs sucrées et de textures inhabituelles. Les palais curieux seront ravis d’y découvrir le jus de citron salé, un breuvage très salé à base de citrons macérés qu’on peut aussi boire avec du Perrier. C’est un peu spécial, mais... LE QUINCY Trop rapide, trop impersonnel, trop mondialisé, le XXIe siècle vous oppresse ? Notre ordonnance : un repas au Quincy. Poutres apparentes, rideaux vichy et mobilier rustique, bienvenue dans le fief de Michel Bosshard, dit “Bobosse”, 52 ans de bistrot pour 87 d’existence ! Le gaillard se montre moins truculent que par le passé, mais reste en vigie du ballet des garçons (pas tout jeunes, eux non plus !) gouailleurs et efficaces qui distribuent des classiques carrés de gastronomie hexagonale à une population de darons plus proches de Chicandier que de Pierre Niney. À peine assis, on vous sert un shot de blanc de blanc et une tranche de saucisson, histoire de commander serein et de vous mettre dans l’ambiance pas hyper végé. Le marathon protéique continue avec une tranche large comme deux doigts d’une splendide terrine maison accompagnée d’une salade de chou à l’ail « comme légume ». L’immense chou farci découpé dans une marmite en cuivre un peu plus petite qu’un évier nous fait de l’œil, mais, raisonnable, on opte pour le classique de la maison, la casserole de blanquette de veau ciselée par le chef Laurent Josefiak. Une suave beauté enveloppée dans son manteau de sauce épaisse et sapide, aux saveurs sous-bois et dégustée sous une photo de Jacques Chirac. Peut-on faire plus rétronomie ? On ne peut décemment pas manger tout ça avec une eau de régime, mais la cave se montre plus réduite qu’une retraite de millénial. Dans la quinzaine de quilles à la ficelle (et pas nature pour... CHEZ MAMANE Parmi les bonnes adresses de la Butte-aux-Cailles, l'algérien Chez Mamane fait figure d’institution. Cette toute petite salle rue des Cinq-Diamants, jadis cantine attitrée de Coluche, attire chaque soir habitués du quartier et étudiants affamés qui s’attroupent sur le trottoir ou au comptoir, partageant l'apéro avec l’équipe et les autres clients en attendant de casser la graine. Mur peint par la street artiste Miss. Tic, vieux zinc, nappes en toile cirée comme chez mamie... Rien n'a vraiment changé depuis vingt ans (quel bonheur), si ce n'est que le daron a laissé place au fiston, Fawzi. Lequel, tout aussi avenant, continue d'envoyer à travers le petit passe-plat de sa cuisine le fameux « meilleur bouillon de Paris » – une tuerie : coriandre fraîche, la dose de légumes (croquants et pas surbouillis)... Le couscous royal (17 €) fait un carton : des merguez grillées au tendre gigot, la viande, si elle pourrait être de meilleure qualité, reste parfaitement cuite. Le couscous poulet remplit tout autant le cahier des charges (et pour 11 balles seulement). C’est donc à deux que l’on partage une montagne de semoule, fine comme on l’aime, bien détachée. Hop ! Entre deux bouchées du festin, on s'envoie une goulée de boulaouane (3 € le ballon), ou une binouze artisanale de la Paname Brewing Company (4 € le demi). Les plus gourmands craqueront sans doute pour les sympathiques pâtisseries orientales à 3 €
timeout.fr
Les meilleurs restaurants chinois de Paris | 16 restos qui sortent du lot
© The Social Food Cuisine sichuanaise, pékinoise, ouïgoure ou fusion… A chaque restaurant chinois ses spécialités ! Voici les meilleurs de Paris. vendredi 28 novembre 2025 Partager La Chine ? 9,6 millions de km² et une gastronomie plurielle, aussi diversifiée que son territoire est immense. Alors forcément, poser la question “Où bien manger chinois à Paris ?”, c’est comme demander où manger américain : ça manque de précision. Surtout que, depuis une dizaine d’années, Paris rattrape son retard en culture culinaire asiatique par rapport aux capitales comme Londres. Les chefs chinois peuvent enfin arrêter de proposer des cartes bottins de 200 plats et se concentrer sur leurs spécialités, travailler des produits frais. Alors vous voulez manger quoi ? Des dim sum comme à Canton ? Des bao délicats à la shanghaïenne ? Des soupes pimentées Sichuan-style qui vous incendient ? Du canard laqué comme à Beijing ? Dégustez donc notre sélection des meilleures tables chinoises de Paris, entre adresses bistronomisées et bouis-bouis où bâfrer pour moins de 10 balles. POUR ENCORE PLUS DE BONS PLANS, INSCRIVEZ-VOUS À LA NEWSLETTER DE TIME OUT PARIS. LES MEILLEURS RESTAURANTS CHINOIS DE PARIS SENSATION Le chef hongkongais Samuel Lee (Sen, de son prénom chinois) a quitté les cuisines cossues du Shangri-La pour le pavé de la rue Saint-Maur, où il interprète les grands classiques de la gastronomie de Canton et du Sichuan avec une maestria toute mandarinale. Les bouchées vapeur siu mai, souvent galvaudées, sont ici totalement maîtrisées ; le poulet frit et épicé kung pao remonte à son rang impérial ; le porc laqué, succulent de minimalisme, se magnifie au cognac... Où ? 32 rue Saint-Maur, Paris 11e LE LAC DE L'OUEST La doyenne des chinatowns parisiennes – celle, centenaire, du Marais – cache cette pépite de cantine sichuanaise. Ici, on baguette des caquelons bouillonnants pas servis partout : aubergines au soja et porc haché, soyeuses à lécher le fond de la cassolette ; énorme marmite de poisson, choux et piments capable de mettre le feu à deux solides mangeurs, ou, pour les végétariens, tofu aux piments verts. Où ? 7, rue Volta, Paris 3e CHEVAL D'OR Le quarté Luis Andrade, Hanz Gueco, Crislaine Médina et Nadim Smair a réussi à revivifier ce Cheval d’Or, claudicant depuis la disparition de son jockey, feu Taku Sekine. Façade rutilante de bouiboui chinois ; intérieur tout en murs grattés et suspensions en alu pour une fusion sino/bistro next gen qui joue des textures et des cuissons. A ne pas manquer un modèle de canard laqué farci accompagné de concombre et sauce hoisin maison ou un twist italien avec des raviolis à la mayo tofu, porc haché, shiitakés, ricotta et cébette qui assurent grave en fondance. Où ? 21 rue de la Villette, Paris 19e RED KATZ Entre le boui-boui bizarre et la vaste institution un peu kitsch, le Red Katz, lancé à l’automne 2024 par trois potes entrepreneuses, biberonnées à la cuisine asiatique dans leurs restaurants familiaux respectifs, invente le restau chinois de l’ère Instagram. Déco chiadée, plats bien réalisés mais plutôt sages, vous pouvez y emmener sans crainte vos parents sans y laisser un rein (comme au Peninsula) ni craindre de tomber sur des recettes trop étranges. Où ? 14 rue de Cléry, Paris 2e MIAM-MIAM COOL Une nano-échoppe à deux pas des grands magasins qui s’impose comme le QG du épice & lave avec une cascade de soupes de nouilles à la sichuanaise plus chaudes que le climat. Bol à bol avec son voisin (qui parle en mandarin, c’est bon signe), on s’enfile un super bouillon maison à la viande, nouilles et raviolis soyeux pour un voyage immobile pour la Chine. Plus authentique ? Impossible ! Où ? 41, rue de Provence, Paris 9e BOUTIQUE YAM'TCHA Jouxtant le restaurant de la cheffe Adeline Grattard, cette annexe nettement plus abordable s’impose comme un plan en métal précieux. Dans la salle zen en bois, pierre et poutre, on commande à emporter des versions haute goûture des bao fourrés selon l’inspiration du moment. La vedette ? Le bao au stilton (oui, le fromage anglais) et cerises amarena. A faire couler avec un thé d’exception conseillé par un onctueux serveur. Où ? 4 rue Sauval, Paris 1er MALA BOOM Dans cette cantoche explosive, orange et inox, Patrick le boss fait sauter non pas la banque mais les ingrédients que vous avez cochés à la carte (échine de porc, soja, champignons shimeji, pommes de terre laminées, gâteau de riz, choux…) dans son grand wok. C’est le principe du málà xiāngguō, une spécialité venue des gargotes de rue du Sichuan. Qui dit Sichuan dit souvent “chaud” mais pas de panique, on peut régler le niveau de piment de ce chouette pêle-mêle. Où ? 42 rue Jean-Pierre-Timbaud, Paris 11e JIXIAO'S BUNS La spécialité de cette échoppe poussin posée rue Beaubourg ? Les shengjian bao, des petites bouchées venues de Shanghaï, cuites à la vapeur et revenues à la poêle. Résultat : un mix incomparable entre croustillant et moelleux au cœur duquel on aspire un bouillon savoureux à la paille. Slurp ! Et sinon, le chef propose des soupes sichuanaises bien vénères. Où ? 91 rue Beaubourg, Paris 3e ATELIER MALA La cantine ouverte par Stanislas Deniau pousse haut les couleurs du Sichuan, région (et gastronomie) chère à notre cœur, célèbre pour son super-poivre (ma) et piment (la). Au menu : nouilles de blé maison coupées minute, divin bouillon à l’huile pimentée et bœuf ultra-fondant (13 €) et , sauce soja (maison, bravo !) et pâte de sésame… Où ? 56, rue Notre-Dame-de-Lorette PARIS 9e LE ROYAL CHINA Pas de made in China au Royal China ! Dans ce vaste réfectoire du 3e, on prône le fait maison tous azimuts. Les cuistots au milieu des nuages de vapeur envoient donc des succulents dim sum, de la rôtisserie juteuse, des pâtes de riz moelleuses et même de bonnes boules coco dans une ambiance aussi calme qu’un 747 au décollage. Où ? 85 rue Beaubourg, Paris 3e AUCIEL Autour d’une table qui fait aussi plaque à induction, on joue à jeter dans une marmite où glougloute un bouillon tout un tas d’ingrédients : tranche micrométrique de bœuf, buisson de champignons, racine de lotus, grosse crevette mais aussi aorte de porc ou boudin de canard ! C’est le principe du hot pot chinois un peu foutraque, parfois chelou mais vraiment rigolo pour des ventrées en bande. Où ? 97 rue de Charonne, Paris 11e RAVIOLI CHINOIS NORD-EST Double médaille d’or pour cette minuscule gargote de Belleville. La première afin de récompenser le nom de resto le plus informatif de Paris : on y propose en effet des raviolis chinois (maison) dont la recette vient du Liaoning, au nord-est du pays. Aucune tromperie sur la marchandise ! La deuxième pour son imbattable rapport qualité/quantité/prix qui permet de se remplir l’estomac (et d’en remporter chez soi) pour une poignée d’euros. Bravo ! Où ? 1 rue Civiale, Paris 10e L'EMPIRE DU RAVIOLI Une petite cantine rutilante, typique du Shandong et monomaniaque du ravioli, où un duo de cuisinières en vitrine fourrent des pâtes à la chaîne pour une clientèle de régionaux de l’étape. Une dizaine de parfums délicats (agneau/coriandre, porc/chou, bœuf/céleri…) à s’enfiler par paquet de 15 sous les néons. Ça, c'est du dépaysement ! Où ? 88, boulevard de l'Hôpital, Paris 13e DAO Ce spot ancré vers les Gobelins se distingue par sa déco joliment contemporaine et surtout sa carte typique du Sichuan. Donc du piment et du poivre mais pas seulement. Ici, point de soupe de ravioli comme ailleurs. Le chef (une pointure) ne propose que des plats inédits de sa province chérie. Préparez-vous à plonger les baguettes dans une assiette de cœur, tripes, langue et viande de bœuf ou aux rognons de porc et pousses de bambou ! Où ? 55 boulevard Saint-Marcel, Paris 13e MUQAM Embarquement pour la province du Xinjiang au nord-ouest de la Chine, patrie des Ouïghours ! Muqam est l'un des seuls représentants de cette belle cuisine mixant saveurs chinoises et turques. Au programme de l’excursion : mordre dans des kawap, brochettes halal de bœuf, agneau ou poulet, marinées aux
timeout.fr