Best Tofu
Chinese restaurant — 10th arrondissement (Paris)
About
Best Tofu is an authentic Chinese restaurant nestled in the heart of Belleville, offering an incredibly affordable and immersive culinary experience. Specializing in tofu dishes, this hole-in-the-wall spot serves specialties like baozi, youtiao, and tofu soups at ridiculously low prices (under €5). The establishment primarily attracts a Chinese clientele, creating an immersive atmosphere that feels like a canteen in Wenzhou. Portions are generous, flavors authentic, and the ambiance simple yet warm. Open from breakfast, Best Tofu allows visitors to enjoy specialties like savory seaweed soft tofu, fried you tiao, and soy milk, all in a friendly and popular setting.
Mentions
Belleville : les bonnes adresses gourmandes de l’autrice du « Guide du Paris Boui-Boui » – Mon Petit 20e
À L’OCCASION DU NOUVEL AN LUNAIRE, NOUS SOMMES PARTIS À LA RENCONTRE DE CHLOÉ VASSELIN, HABITANTE DU BAS-BELLEVILLE ET AUTRICE DU « GUIDE DU PARIS BOUI-BOUI » POUR CONNAÎTRE SES ADRESSES FAVORITES À BELLEVILLE. Avant de nous guider localement à travers ces adresses aussi populaires qu’exotiques, Chloé travaillait comme agent de développement touristique dans la start-up de Voyageurs du Monde. Désormais, pour le Nouvel An et tout le reste de l’année, elle propose des visites guidées culturelles et gourmandes notamment à Belleville et ailleurs dans Paris. Best Tofu. L’adresse incontournable pour démarrer la journée avec un petit déjeuner chinois à base de soupe de tofu soyeux salé aux algues ou sucré au sirop mentholé, un you tiao long beignet frit à tremper dans un verre de lait de soja tiède et sucré. Service pressant, mais voyage dépaysant garanti ! 9 boulevard de la Villette, 10e. La tour de Belleville. Cantine qui ne paye pas de mine de l’extérieur et qui pourtant se révèle être une pépite, notamment pour déguster l’une des meilleures soupes de nouilles du quartier. Spectacle quotidien en vitrine, les nouilles sont étirées sous nos yeux et les commandes sont faites minutes. 15 rue de la présentation, 11e. Pâtisserie You Wei. J’y viens régulièrement pour acheter des xian shaobing (pains feuilletés farcis) et y passe à chaque food-tour pour conter la mythologie derrière certains gâteaux. Cette pâtisserie wenzhounaise tenue de mère en fils depuis 1986, est le spot où acheter du nian gao, le gâteau du nouvel an. À base de riz gluant et de sucre brun, il est consommé chaque année comme symbole de réussite et d’ascension. Tout chaud avec un peu de thé, c’est un régal ! 5 rue Civiale, 10e L’auberge de Belleville. Boui-boui où se restaurer de raviolis grillés faits maison, d’un sauté de galettes de riz « porte bonheur » en forme de langue de chat, des bigorneaux épicés ou des nouilles vinaigrées à l’ail. Attente longue, mais rapport qualité-prix correct. 26 rue de Belleville, 20e. Panda Belleville. Cantine connue pour manger sur le pouce un banh mi vietnamien préparé à la minute. Pour la fête du printemps (Têt), je viens chaque année leur acheter un traditionnel banh-têt : un rouleau de riz gluant à la pâte d’haricot mungo et de poitrine de porc, longuement cuit à la vapeur dans des feuilles de bananier. À griller chez soi et à partager en famille ou avec ses voisins, accompagné du traditionnel thit kho, le porc au caramel. 16 rue Louis Bonnet, 11e. Chez Trois. Pour une fringale nocturne – résolument cuisine de rue – direction ce resto où on ne parle que chinois. Je vous suggère leurs brochettes d’agneau au cumin relevées au piment, celles au tofu frit ou aux boulettes de poisson. A l’unité ou par dizaine, il y a de quoi vous régaler chichement. Si toutefois vous souhaitez vous attablez dans cette salle sans charme, sachez que la spécialité de la maison est le BBQ à la plancha, idéal pour partager des plats entre amis ! 9 rue Denoyez, 20e >> Les balades gourmandes de Chloé. Pour 55 €/personne, Chloé embarque des petits groupes de 2 à 8 personnes pour 3h30 de voyage au coin de la rue pour découvrir des quartiers cosmopolites, mieux comprendre l’histoire migratoire et l’implantation des commerces et, bien sûr, se régaler de spécialités street-food. Les prochaines dates de son parcours « Belleville chinois » sont disponibles ici. Un dragon dans les rues de Belleville à l’occasion du Nouvel an lunaire /Chloé Vasselin Le petit-déjeuner chez Best Tofu /Chloé Vasselin Une soupe de nouille à La Tour de Belleville /Chloé Vasselin ———– À lire aussi : Les bonnes adresses de Donatien Schramm, guide touristique à Belleville Belleville : les bonnes adresses de Mathilde derrière le compte @ParisChinois Belleville : les bonnes adresses de Cécile Cau, journaliste culinaire (So Food So Good)
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Guide anticrise : les 23 meilleurs restaurants pas cher de Paris
© Bouillon Insta GUIDE ANTICRISE : OÙ (BIEN) MANGER PAS CHER À PARIS ? Envie de bien manger pour 20 € ou moins ? Voici nos meilleures adresses parisiennes à petits prix et grande qualité. vendredi 30 mai 2025 Partager Journaliste C’est un peu la cata en ce moment, entre l’explosion du coût des matières premières, l’inflation galopante, le personnel qui demande à être payé décemment… Non, vous ne lisez pas le début d’un édito des Echos mais l’explication, dans les grandes lignes, du pourquoi vous déglutissez bruyamment au moment de payer l’addition de ces petites “assiettes à partager (ou pas)”. Selon le Groupement des hôtelleries et restaurations, les prix au restaurant ont augmenté de 8 % en 2023. Mais pas de panique, Time Out a fourbi son bouclier anti-vie chère en sélectionnant des adresses qui rognent sur leurs marges mais pas sur la qualité, des lieux où l’on peut bien manger pour 20 € max, confortablement assis dans une salle. A noter que nous avons sorti de la sélection les sandwichs, qui ont leur dossier à eux et les traiteurs à emporter. Suivez le guide (gratuit) pour savoir où manger pas cher à Paris ! POUR ENCORE PLUS DE BONS PLANS, INSCRIVEZ-VOUS À LA NEWSLETTER DE TIME OUT PARIS. CHEZ JEANNETTE On se frotte les yeux face à l’ardoise : 9 € le plat du jour, 15 € la totale ! Pierre Moussié, en reprenant en direct la gérance depuis 2023, a mis un gros coup de bâton aux prix sans rogner sur la qualité. Entouré des créatifs du quartier qui s’échangent leurs business plans et des ouvriers du BTP en pause, on constate que le taulier dit vrai : les œufs mayo et céleri rémoulade font carrément le taf, la joue de cochon alanguie sur de la polenta se boulotte sans forcer et le petit chou à la crème citron verveine termine en douceur cette pause méridienne. Où ? 47 rue du Faubourg Saint-Denis, Paris 10e Plat du jour et à la carte entre 13€ et 18€ (civet de biche/purée ; pavé de thon mi-cuit et wok de légumes ; tranche de gigot d'agneau/haricots verts ; tartare frites...), bon et frais. BEST TOFU Cette guitoune est posée au cœur de Belleville mais pourrait aussi bien se trouver dans la banlieue de Wenzhou. Le patron est chinois, les serveuses derrière la vitrine bourrée de brioche et de beignets vous accueillent d’un sonore « Nǐ hǎo », la totalité des clients au coude-à-coude sur trois tables en plastique (dont pas mal de travailleuses du sexe en pause méridienne) parlent chinois. Sur la feuille photocopiée qui sert de menu, des intitulés funs comme un formulaire Cerfa qui cachent des recettes souvent végé et carrément bonnes à des prix d’un autre temps (rien à plus de 3 €) : « petit pain farci cuit à la vapeur au porc », « galette aux légumes salés », « gâteau de riz gluant salé »… Où ? 9 boulevard de la Villette, Paris 10e LA SOCIABLE Fraichement reconvertis et diplômés de Ferrandi, Nathan Cohen et Antoine Héry, les deux tauliers de cette vaste adresse vaste adresse béton et bleue, n’ont ni voulu quitter leur 19e d’adoption ni plomber les additions. Résultat des assiettes méditerranéennes à 9€ en moyenne avec des liquides eux aussi à prix discount : 5 balles le verre de vin nature ou la pinte de blonde, 8€ le cocktail. Bref la bonne adresse pour fêter un truc avec votre bande tout en ménageant vos agios. Où ? 23 rue de Meaux, Paris 19e PISTIL Cette cantine toute boisée a éclos au sein de la Ménagerie de Verre, bouillonnant labo de la danse contemporaine parisienne. Pistil, dessiné par Matali Crasset au milieu de murs de béton blanc, a tout pour devenir le rendez-vous des déjeuners végétariens de haute volée avec ses prix plus ajustés que le collant d’un danseur étoile. Merci qui ? Merci Julie Bavant, ex-cheffe volante passée par l’Arpège qui déroule ici une superbe formule déjeuner en direct du marché, sans viande mais avec un max de goûts. Où ? 12-14 rue Léchevin, Paris 11e A NOSA CASA DE GALICIA L’Espagne, la vraie ! Ouverte uniquement le week-end, cette cantine dans son jus, adossée à une association d’émigrés espagnols, propose des spécialités galiciennes à prix d’amigo. Sous les néons et la télé en espagnol, on se régale d’assiettes au format tapas de déménageur (une vingtaine de types) ou de plats roboratifs pour grosse fringale, comme ce merlu à la galicienne débordant de tomates et de haricots. Rustique et nourrissant pour 15 € par cabeza ! Où ? 91 rue du Ruisseau, Paris 18e BISTROT MEE Le Mee ne fait pas le moine. Sous des atours chicos, ce resto coréen délivre des spécialités du pays à des prix doux comme un panda roux (au dej mais pas seulement). Dodus mandoo, salade de bulots, bulgogi à gogo et surtout un des meilleurs bibimbaps de Paris, grésillant dans son bol de pierre. Bref foncez à l’adoré Mee. Où ? 5 Rue d'Argenteuil, 75001 Paris WILL’S DELI Enfin une adresse parisienne qui hisse le pastrami au niveau du Katz’s de New York ou de Schwartz’s à Montréal ! Bien que la famille Benitah s’y soit mise sur le tard (2014 !) par rapport à ces glorieux ancêtres, elle propose là un savoureux Reuben débordant de viande, de pickles et de fromage fondu, escorté de latkes (des paillassons de pomme de terre) bien crousti sous une tuerie de sauce sésame et miel. Prix de la formule déjeuner qui coche toutes les cases de la régalade ? 17€ ! Où ? 28 Rue Poissonnière, Paris 2e GALERNA Une adresse basque-espagnole qui envoie le midi une formule qui met tout le monde d’accord. Pour 20 €, on se régale de la cuisine simple, équilibrée et précise d’Iñigo Ruiz Rituerto dans une salle belle comme un coucher de soleil sur le golfe de Biscaye. Bonne nouvelle, le soir, les tapas du chef ne vous mettront pas non plus sur la paille. Où ? 7 rue du Cher, Paris 20e. MIAM MIAM COOL Mini-salle, fresque graphique et trois tablées de six où l’on nous cale, bol à bol, avec les amateurs d’une cuisine sichuanaise authentique. A la carte ultra-ramassée, des soupes de nouilles de blé ou de vermicelles de riz (10 à 13 €) garnies de viande ou de raviolis et évidemment pimentées de zinzin – force réglable de 0 à 3 « chili »… Pas de fierté déplacée, à 1, ça envoie déjà bien. Où ? 41, rue de Provence Paris 9e. LE BLAINVILLE Ne vous fiez pas à sa dégaine de rade à l’ancienne, la déco du Blainville date de 2020 ! En revanche, faites-lui une confiance aveugle pour vous proposer au déjeuner de chouettes assiettes bistrotières : œuf mimosa à 4 € ; épaule de veau rosée et poêlée de choux de Bruxelles, de champignons et de panais à 16 €. C’est copieux, bon et de saison. Et le soir, les tapas ne vont même pas siphonner vos étrennes. Le meilleur rapport qualité/prix du coin ! Où ? 183 rue Saint-Denis, Paris 2e. MAMA KOSSA Dans cette cantine pop de Barbès (wax, briques nues, suspension osier) au blaze inspiré du banger de Manu Dibango, Flora Dibotti et Didier Piquionne mixent les cuisines afros : un peu de Sénégal, un peu de Caraïbes, un peu de Louisiane et plein d’influences street food. Le midi, on se rassasie avec un solide bowl au riz djalon et poulet électrisé au condiment pikliz à 9,90 €. La bonne affaire ! Où ? 8 rue Myrha, Paris 18e.. IKA Cette mini-cantine/couloir (six places et c’est tout) s’impose comme une pure destination pour les amateurs de cuisine japonaise familiale. La spécialité d’Aki, la patronne passée du tourisme à la popote : le curry nippon, plus doux que la recette indienne. Elle le décline en version légumes, poulet, bœuf… La formule midi à 19 € se complète d’une entrée et de thé à volonté. Où ? 26, rue de Chabrol, Paris 10e. AVE PIZZA ROMANA Elle a de la gueule, l’ambassade parisienne de la pizza à la romaine (à la pâte plus fine que sa cousine napolitaine) : bar à parpaings blancs, murs raclés jusqu’à l’os, imposant plafond-miroir et serveurs lookés. Et on mange quoi dans ce décor brutaliste ? Margherita de bufala (tomate, mozzarella de bufflonne et basilic) magnifique d’épure ; divine Parma rossa (tomate, jambon de Parme affiné 22 mois, mozza de bufflonne et basilic)… Et de midi à 13h en semaine, elles s’affichent à des prix popolare (à partir de 6 €). Où ? 90 r
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Petit déjeuner à Paris | Les meilleures adresses
Photograph: Fringe Coffee OÙ MANGER UN BON PETIT DÉJEUNER À PARIS ? Le temps d’une tartine et d’un café, prenez le temps de contempler la ville s’éveiller. lundi 14 avril 2025 Partager Journaliste Loin d’offrir l’opulence du brunch dominical, le petit-déjeuner hors de chez soi reste un moment à part, particulièrement précieux. Dans ce hiatus entre le lever et le vrai début de journée, on se sent comme un touriste dans sa propre ville, un naufragé volontaire de la productivité, accroché à son guéridon de bar dans l’air frais brassant les possibles, qui regarde les actifs cingler sur la route de leur journée, les livreurs s’activer autour de leur camion et les commerçants préparer leur vitrine, bref la cité qui se prépare au coup de feu quotidien. Cette parenthèse à soi (ou à deux mais pas plus) se montre d’autant plus agréable que, désormais, de nombreux lieux proposent de bons cafés artisanaux, des viennoiseries maison ou des spécialités dépaysantes. Alors, où faut-il aller pour profiter des meilleurs petit-dej’ à Paris ? NOTRE SÉLECTION D'ADRESSES POUR LE PETIT DÉJEUNER : CAFÉ SINGULIERS Posé à côté de l’immense poêle De Dietrich de 1953 chiné par le taulier Patrice Besse, agent immobilier ascendant esthète, on se réveille tout en douceur dans ce chaleureux café boisé. Dans la tasse, des grains torréfiés par Plural (à Paris) et, dans les assiettes, des sucreries caressantes tricotées du matin par Victoire Pfister, néo-cuistote défroquée : scones (servis tièdes), granola maison, financiers à la poire ou cookies de compétition. Où ? 2 rue Titon, Paris 11e BUENAS Poupées flamencas en satinette, collection de matériel de cuisine 70s et imprimés orange, Buenas, ouvert début 2025, joue à fond la carte du kitsch ibérique — et ça peut piquer la rétine le matin ! Mais c’est aussi une des rares adresses parisiennes qui propose un petit-déjeuner à l’espagnole. Dans la formule desayuno (9,50 €), nulle viennoiserie, mais deux bocadillos au jambon cru ou des churros maison. Où ? 83 rue du faubourg Saint-Denis, Paris 10e LE CAFÉ DES DÉLICES Dès que le soleil pointe un rayon, direction l’immense terrasse de cet ancien rendez-vous des juifs tunisiens du quartier, revitalisée par Édouard Lax, proprio du bistrot Le Grand Bain voisin. Au menu : du classique, du roboratif : tartine de pain au levain, muffin, croque au comté… Idéal pour regarder Belleville se réveiller en douceur. Où ? 4 rue Lemon 20e BEST TOFU La cantine la plus chinoise et la moins chère de Belleville (où il y a pourtant une sérieuse concurrence) déploie son dépaysement dès le petit matin. Dans une ambiance de self de Wenzhou, au coude à coude avec quelques retraités, on peut, en échange de 2,50 €, commander un beignet long comme un avant-bras à plonger dans un verre de lait de soja. Où ? 9 boulevard de la Villette, Paris 10e SIMPLE COFFEE Une salle classieuse à vaste comptoir et petites alcôves en alu brossé (bravo le studio Mur.Mur) pour de très bonnes choses dans les assiettes et les tasses ! On y déniche une sélection pointue de crus à prix raisonnable, des pâtisseries maison (fabriquées au sous-sol) et du salé soigné. Bref, une adresse aussi bonne que branchée, avec en bonus une rare terrasse sur une voie piétonne. Où ? 78 rue des Martyrs, Paris 18e MAISON FLEURET Postée à deux pas de la fac de médecine et des maisons d’édition, cette ancienne librairie boisée sur deux étages, fière de son escalier ouvragé de fer forgé, annonce la couleur : le blanc crème, celui des couv’ des livres Gallimard qui peuplent le lieu, mais aussi celui du lustre surréaliste en ex-voto, que n’aurait pas renié Gertrude Stein. Au petit dej, pas de clavier (ordinateurs proscrits !), mais du pain au levain, des œufs brouillés au comté et compotée de fruits rouges, et du café issu de la Brûlerie de Varenne voisine. Où ? 30 rue des Saints-Pères, Paris 7e PILO'S Un discret local en face du cimetière du Père-Lachaise où accompagner son retour à la vie. L’Argentine Pilar d’Amuri reçoit dans ce salonnet tout simple où elle fait tout elle-même avec une placidité communicative : les prix sont chuchotés, les petits noirs servis sans précipitation et les tasses soigneusement dépareillées. On plonge dans une tasse de café Plural, une media luna — un croissant argentin à la peau sucrée —, ou un bon vieux café filtre. Ou les alfajores au chocolat, deux sablés collés au dulce de leche. Où ? 1 avenue du Père-Lachaise, Paris 20e Un e-mail que vous allez vraiment aimer Vous ne pourrez plus vous passer de notre newsletter. Grâce à elle, découvrez avant tout le monde les meilleurs plans du moment. 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